http://recteur.blogs.ulg.ac.be/?cat=10
Bernard Rentier, Rektor der Universität Lüttich und Open-Access-Befürworter, teilte in seinem Blog Ende November 2008 mit, dass von den 1200 Einträgen in ORBi
http://orbi.ulg.ac.be/
etwa 80 Prozent von einem Volltext begleitet sind, der in etwa der Hälfte aller Fälle (also gut 40 %) Open Access einsehbar ist. Für den Rest gibt es den bekannten Request-Button (von den sechs heute angeforderten Eprints gingen mir bereits 3 zu).
Siehe auch http://archiv.twoday.net/stories/5193609/
Angehörige der Universität haben Zugriff auf alle Volltexte, auch auf die der allgemeinen Öffentlichkeit unzugänglichen. Diese auch bei anderen Schriftenservern verbreitete Praxis kann nicht gutgeheissen werden.
Eine Rechtfertigung der uni-internen Zugänglichmachung kann sich nur aus folgenden Gesichtspunkten ergeben:
(1) Der Autor verfügt über die nötigen Rechte, möchte aber, dass Wissenschaftler bei ihm anfragen.
Repositorien-Manager sollten alles das Open Access zur Verfügung stellen, was nach dem Urheberrecht zugänglich gemacht werden darf; nicht mehr, aber auch nicht weniger!
Hier geht es nicht um Geheimdokumente, sondern um publizierte Schriften. (Wer einen beliebigen Wissenschaftler in Lüttich gut genug kennt, kann ja ohnehin auch ohne Kontakt zum Autor sich einen Eprint besorgen.)
Der grüne Weg kann nur dann funktionieren, wenn die Dokumente zum frühestmöglichen Zeitpunkt (in der Regel: Auslaufen eines Embargos) zur Verfügung stehen.
Zwischen der Lütticher Theorie
http://orbi.ulg.ac.be/project?id=103
und der Praxis dürfte eine erhebliche Diskrepanz bestehen. Ein Embargo-Eprint, wie dort angegeben, habe ich nicht gesehen. Daher stimmt der Verleger OA nicht zu oder der Autor befindet sich in Verhandlungen. Ich vermute aber, dass in den meisten Fällen Fall Nr. 4 vorliegt:
Der Autor hat sich um OA gar nicht gekümmert.
(2) Die Uni verfügt über eine uni-weite Lizenz des Verlags.
Dass Kopien lizenzierter Zeitschriftenartikel ins Repositorium eingestellt werden könnten, wäre mir neu, und auch von speziellen Repositorien-Lizenzen ist mir nichts bekannt.
(3) Das nationale Urheberrecht betrachtet eine uni-weite Zugänglichmachung als nicht-öffentlich.
Dies kann für Deutschland ausgeschlossen werden, wie ein Blick auf § 52a UrhG zeigt. Nach § 15 Abs. 3 UrhG liegt bei einer uni-weiten Veröffentlichung eindeutig eine Veröffentlichung vor, die dem Rechteinhaber vorbehalten ist. Liegen die Rechte beim Verlag, kann dieser nicht übergangen werden.
Es darf bezweifelt werden, dass es sich in Belgien anders verhält, auch wenn hier "Öffentlichkeit" im belgischen Gesetz nicht definiert wird:
http://www.juridat.be/cgi_loi/loi_F.pl?cn=1994063035
Die europarechtlichen Vorgaben sind wenig eindeutig, siehe Schricker, UrhR, 3. Aufl. § 15 Rz. 62. Zwar gibt es zwischen dem rein privaten Gebrauch noch einen auf persönlicher Verbundenheit beruhenden Gebrauch, aber es muss erheblich bezweifelt werden, dass ein uni-weiter Gebrauch noch in diesem Sinn "persönlich" ist.
Es ist daher zu vermuten, dass in den meisten Fällen die Sperrung nicht notwendig oder die Freigabe an die Universitätsangehörigen rechtswidrig ist.
Besonders pikant wird die Angelegenheit, wenn man die selbstgebastelte Lütticher Lizenz hinzunimmt:
"Tous les documents dans ORBi sont protégés par une licence d'utilisation."
Es ist natürlich absolut widersinnig, diese angebliche Open-Access-Lizenz auch auf die gesperrten Beiträge anzuwenden. Genau das geschieht aber. Denn bei der Anforderung mit dem Request-Button heißt es:
"Nous vous rappelons qu'en signant la licence d'utilisation, vous vous êtes engagé à n'utiliser le(s) document(s) demandé(s) qu'à des fins strictement privées, d'illustration de l'enseignement ou de recherche scientifique et à en mentionner la source."
Die Eprints dürfen also nur für private, Unterrichtszwecke und Forschungszwecke verwendet werden. Selbstverständlich kann die Uni Lüttich keine Erlaubnis erteilen, wenn sie nicht der Rechteinhaber ist. Die gesperrten Beiträge können aber per definitionem nicht Open Access freigegeben werden, eine Open-Access-Lizenz, die über die Schranken des Urheberrechts hinausgeht, ist daher nicht anwendbar.
Par le téléchargement d'un document (article, communication, etc.) disponible sur le site du Répertoire institutionnel de l'Université de Liège ORBi, l'Utilisateur (i.e. toute personne physique ou morale) s'engage à respecter les termes de la présente licence d'utilisation dudit document.
Par la présente licence, l'Université, dûment autorisée par les auteurs ou leurs ayants droit, autorise l'Utilisateur à, selon les principes énoncés par la "Budapest Open Access Initiative"(BOAI, 2002), lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces articles, les disséquer pour les indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l'accès et l'utilisation d'Internet.
La présente licence n'autorise aucune utilisation du document à des fins commerciales.Elle vaut pour le monde entier et pour la durée légale de protection des droits d'auteur.Elle est conférée par l'Université à l'Utilisateur à titre gratuit.Elle est non exclusive et non transmissible à des tiers.
L'utilisateur s'engage à respecter les droits moraux de l'auteur, principalement le droit à l'intégrité de l'oeuvre et le droit de paternité et ce dans toute utilisation que l'Utilisateur entreprend. Ainsi, à titre d'exemple, lorsqu'il reproduira un document par extrait ou dans son intégralité aux fins autorisées par la présente licence, l'Utilisateur citera de manière complète les sources telles que mentionnées dans le Répertoire institutionnel.
Toute utilisation non explicitement autorisée par la présente licence nécessite l'autorisation préalable et expresse des auteurs ou de leurs ayants droit. Ainsi à titre d'exemple, l'Utilisateur ne peut apporter de modifications au contenu du document, ni le résumer. Ce type de création d'œuvres dérivées nécessite l'accord préalable des auteurs ou de leurs ayants droit.
Par la présente licence, l'Utilisateur reconnaît avoir pris connaissance des mentions légales du site du Répertoire institutionnel de l'Université de Liège et en accepter les termes.
En cas de constatation par l'Université d'un manquement par l'Utilisateur à ses obligations telles que définies dans la présente licence, l'Université se réserve le droit de résilier la présente licence sans mise en demeure préalable, et ce sans préjudice de toute réparation à laquelle l'Université pourrait prétendre au titre du manquement constaté.
La présente licence est régie par le droit belge.
Selbst wenn man die Nichtanwendbarkeit der Lizenz für die gesperrten Beiträge konzediert, bestehen erhebliche Zweifel, ob der Ausschluß jeglicher kommerzieller Nutzung mit der BOAI kompatibel ist. Die BOAI-Passage lautet:
"Par "accès libre" à cette littérature, nous entendons sa mise à disposition gratuite sur l'Internet public, permettant à tout un chacun de lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces articles, les disséquer pour les indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l'accès et l'utilisation d'Internet. La seule contrainte sur la reproduction et la distribution, et le seul rôle du copyright dans ce domaine devrait être de garantir aux auteurs un contrôle sur l'intégrité de leurs travaux et le droit à être correctement reconnus et cités."
Zur Erinnerung:
http://www.earlham.edu/~peters/fos/newsletter/08-02-08.htm
"not all libre OA is BBB OA. For example, permitting all uses except commercial use (the CC-NC license) and permitting all uses except derivative works (the CC-ND license) are not equivalent to one another and --ignoring certain subtleties-- not compatible with the BBB definition."
Unter
http://orbi.ulg.ac.be/project?id=105
liest man:
"Contrairement à bon nombre d'idées préconçues, l'accès libre ne remet donc nullement en cause les droits de propriété intellectuelle des auteurs sur leurs œuvres (voir les "Mythes de l'Open Access").
Les utilisateurs du répertoire peuvent lire, télécharger, copier, distribuer et imprimer l'œuvre pour autant qu'ils respectent les droits élémentaires des auteurs ULg. Aussi, un accès ouvert à un texte intégral sur ORBi est subordonné à l'acceptation d'une licence d'utilisation au terme de laquelles les utilisateurs s'engagent à :
indiquer, dans toute citation, la source de l'œuvre et le(s) nom(s) de(s) l'auteur(s) ;
ne pas modifier, transformer ou adapter l'œuvre, sans autorisation explicite de l'auteur ;
ne pas utiliser l'œuvre à des fins commerciales (c'est-à-dire en ayant principalement l'intention ou en poursuivant l'objectif d'obtenir des avantages commerciaux ou une compensation financière) ;
ne pas utiliser l'œuvre de manière telle que cela nuise à son exploitation sous d'autres formes."
Es wird also auch explizit das für OA zentrale Bearbeitungsrecht ausgeschlossen. Wenn man den Satz "l'accès libre ne remet donc nullement en cause les droits de propriété intellectuelle des auteurs sur leurs œuvres" ernst nimmt, handelt es sich definitiv lediglich um GRATIS OA, denn es wird keinerlei "permission barrier" beseitigt.
Es ist völlig unverständlich, wieso man nicht eine Creative Commons-Lizenz, meinetwegen auch CC-BY-NC, gewählt hat, denn ohne den letzten Satz (La seule ...) könnte man zum Schluss kommen, dass die BOAI über die Fair-Use-Regelungen nicht wesentlich hinausgeht, also lediglich GRATIS-OA ist. Wesentlich genauer ist die Berliner Erklärung, die z.B. Bearbeitungen ausdrücklich erwähnt.
Es ist damit fraglich, dass die Lütticher Lizenz trotz ihrer Berufung auf die BOAI als LIBRE-OA konzipiert ist. Solange nicht z.B. klargestellt ist, ob Spiegelungen in anderen Repositorien oder Bearbeitungen (z.B. Übersetzungen) möglich sind, wird man ORBi nicht als Beispiel für LIBRE OA ansehen können.
In Wirklichkeit handelt es sich um eine Irreführung des Nutzers, denn die Berufung auf BOAI ist offenkundig missbräuchlich!
Bernard Rentier, Rektor der Universität Lüttich und Open-Access-Befürworter, teilte in seinem Blog Ende November 2008 mit, dass von den 1200 Einträgen in ORBi
http://orbi.ulg.ac.be/
etwa 80 Prozent von einem Volltext begleitet sind, der in etwa der Hälfte aller Fälle (also gut 40 %) Open Access einsehbar ist. Für den Rest gibt es den bekannten Request-Button (von den sechs heute angeforderten Eprints gingen mir bereits 3 zu).
Siehe auch http://archiv.twoday.net/stories/5193609/
Angehörige der Universität haben Zugriff auf alle Volltexte, auch auf die der allgemeinen Öffentlichkeit unzugänglichen. Diese auch bei anderen Schriftenservern verbreitete Praxis kann nicht gutgeheissen werden.
Eine Rechtfertigung der uni-internen Zugänglichmachung kann sich nur aus folgenden Gesichtspunkten ergeben:
(1) Der Autor verfügt über die nötigen Rechte, möchte aber, dass Wissenschaftler bei ihm anfragen.
Repositorien-Manager sollten alles das Open Access zur Verfügung stellen, was nach dem Urheberrecht zugänglich gemacht werden darf; nicht mehr, aber auch nicht weniger!
Hier geht es nicht um Geheimdokumente, sondern um publizierte Schriften. (Wer einen beliebigen Wissenschaftler in Lüttich gut genug kennt, kann ja ohnehin auch ohne Kontakt zum Autor sich einen Eprint besorgen.)
Der grüne Weg kann nur dann funktionieren, wenn die Dokumente zum frühestmöglichen Zeitpunkt (in der Regel: Auslaufen eines Embargos) zur Verfügung stehen.
Zwischen der Lütticher Theorie
http://orbi.ulg.ac.be/project?id=103
und der Praxis dürfte eine erhebliche Diskrepanz bestehen. Ein Embargo-Eprint, wie dort angegeben, habe ich nicht gesehen. Daher stimmt der Verleger OA nicht zu oder der Autor befindet sich in Verhandlungen. Ich vermute aber, dass in den meisten Fällen Fall Nr. 4 vorliegt:
Der Autor hat sich um OA gar nicht gekümmert.
(2) Die Uni verfügt über eine uni-weite Lizenz des Verlags.
Dass Kopien lizenzierter Zeitschriftenartikel ins Repositorium eingestellt werden könnten, wäre mir neu, und auch von speziellen Repositorien-Lizenzen ist mir nichts bekannt.
(3) Das nationale Urheberrecht betrachtet eine uni-weite Zugänglichmachung als nicht-öffentlich.
Dies kann für Deutschland ausgeschlossen werden, wie ein Blick auf § 52a UrhG zeigt. Nach § 15 Abs. 3 UrhG liegt bei einer uni-weiten Veröffentlichung eindeutig eine Veröffentlichung vor, die dem Rechteinhaber vorbehalten ist. Liegen die Rechte beim Verlag, kann dieser nicht übergangen werden.
Es darf bezweifelt werden, dass es sich in Belgien anders verhält, auch wenn hier "Öffentlichkeit" im belgischen Gesetz nicht definiert wird:
http://www.juridat.be/cgi_loi/loi_F.pl?cn=1994063035
Die europarechtlichen Vorgaben sind wenig eindeutig, siehe Schricker, UrhR, 3. Aufl. § 15 Rz. 62. Zwar gibt es zwischen dem rein privaten Gebrauch noch einen auf persönlicher Verbundenheit beruhenden Gebrauch, aber es muss erheblich bezweifelt werden, dass ein uni-weiter Gebrauch noch in diesem Sinn "persönlich" ist.
Es ist daher zu vermuten, dass in den meisten Fällen die Sperrung nicht notwendig oder die Freigabe an die Universitätsangehörigen rechtswidrig ist.
Besonders pikant wird die Angelegenheit, wenn man die selbstgebastelte Lütticher Lizenz hinzunimmt:
"Tous les documents dans ORBi sont protégés par une licence d'utilisation."
Es ist natürlich absolut widersinnig, diese angebliche Open-Access-Lizenz auch auf die gesperrten Beiträge anzuwenden. Genau das geschieht aber. Denn bei der Anforderung mit dem Request-Button heißt es:
"Nous vous rappelons qu'en signant la licence d'utilisation, vous vous êtes engagé à n'utiliser le(s) document(s) demandé(s) qu'à des fins strictement privées, d'illustration de l'enseignement ou de recherche scientifique et à en mentionner la source."
Die Eprints dürfen also nur für private, Unterrichtszwecke und Forschungszwecke verwendet werden. Selbstverständlich kann die Uni Lüttich keine Erlaubnis erteilen, wenn sie nicht der Rechteinhaber ist. Die gesperrten Beiträge können aber per definitionem nicht Open Access freigegeben werden, eine Open-Access-Lizenz, die über die Schranken des Urheberrechts hinausgeht, ist daher nicht anwendbar.
Par le téléchargement d'un document (article, communication, etc.) disponible sur le site du Répertoire institutionnel de l'Université de Liège ORBi, l'Utilisateur (i.e. toute personne physique ou morale) s'engage à respecter les termes de la présente licence d'utilisation dudit document.
Par la présente licence, l'Université, dûment autorisée par les auteurs ou leurs ayants droit, autorise l'Utilisateur à, selon les principes énoncés par la "Budapest Open Access Initiative"(BOAI, 2002), lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces articles, les disséquer pour les indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l'accès et l'utilisation d'Internet.
La présente licence n'autorise aucune utilisation du document à des fins commerciales.Elle vaut pour le monde entier et pour la durée légale de protection des droits d'auteur.Elle est conférée par l'Université à l'Utilisateur à titre gratuit.Elle est non exclusive et non transmissible à des tiers.
L'utilisateur s'engage à respecter les droits moraux de l'auteur, principalement le droit à l'intégrité de l'oeuvre et le droit de paternité et ce dans toute utilisation que l'Utilisateur entreprend. Ainsi, à titre d'exemple, lorsqu'il reproduira un document par extrait ou dans son intégralité aux fins autorisées par la présente licence, l'Utilisateur citera de manière complète les sources telles que mentionnées dans le Répertoire institutionnel.
Toute utilisation non explicitement autorisée par la présente licence nécessite l'autorisation préalable et expresse des auteurs ou de leurs ayants droit. Ainsi à titre d'exemple, l'Utilisateur ne peut apporter de modifications au contenu du document, ni le résumer. Ce type de création d'œuvres dérivées nécessite l'accord préalable des auteurs ou de leurs ayants droit.
Par la présente licence, l'Utilisateur reconnaît avoir pris connaissance des mentions légales du site du Répertoire institutionnel de l'Université de Liège et en accepter les termes.
En cas de constatation par l'Université d'un manquement par l'Utilisateur à ses obligations telles que définies dans la présente licence, l'Université se réserve le droit de résilier la présente licence sans mise en demeure préalable, et ce sans préjudice de toute réparation à laquelle l'Université pourrait prétendre au titre du manquement constaté.
La présente licence est régie par le droit belge.
Selbst wenn man die Nichtanwendbarkeit der Lizenz für die gesperrten Beiträge konzediert, bestehen erhebliche Zweifel, ob der Ausschluß jeglicher kommerzieller Nutzung mit der BOAI kompatibel ist. Die BOAI-Passage lautet:
"Par "accès libre" à cette littérature, nous entendons sa mise à disposition gratuite sur l'Internet public, permettant à tout un chacun de lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces articles, les disséquer pour les indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l'accès et l'utilisation d'Internet. La seule contrainte sur la reproduction et la distribution, et le seul rôle du copyright dans ce domaine devrait être de garantir aux auteurs un contrôle sur l'intégrité de leurs travaux et le droit à être correctement reconnus et cités."
Zur Erinnerung:
http://www.earlham.edu/~peters/fos/newsletter/08-02-08.htm
"not all libre OA is BBB OA. For example, permitting all uses except commercial use (the CC-NC license) and permitting all uses except derivative works (the CC-ND license) are not equivalent to one another and --ignoring certain subtleties-- not compatible with the BBB definition."
Unter
http://orbi.ulg.ac.be/project?id=105
liest man:
"Contrairement à bon nombre d'idées préconçues, l'accès libre ne remet donc nullement en cause les droits de propriété intellectuelle des auteurs sur leurs œuvres (voir les "Mythes de l'Open Access").
Les utilisateurs du répertoire peuvent lire, télécharger, copier, distribuer et imprimer l'œuvre pour autant qu'ils respectent les droits élémentaires des auteurs ULg. Aussi, un accès ouvert à un texte intégral sur ORBi est subordonné à l'acceptation d'une licence d'utilisation au terme de laquelles les utilisateurs s'engagent à :
indiquer, dans toute citation, la source de l'œuvre et le(s) nom(s) de(s) l'auteur(s) ;
ne pas modifier, transformer ou adapter l'œuvre, sans autorisation explicite de l'auteur ;
ne pas utiliser l'œuvre à des fins commerciales (c'est-à-dire en ayant principalement l'intention ou en poursuivant l'objectif d'obtenir des avantages commerciaux ou une compensation financière) ;
ne pas utiliser l'œuvre de manière telle que cela nuise à son exploitation sous d'autres formes."
Es wird also auch explizit das für OA zentrale Bearbeitungsrecht ausgeschlossen. Wenn man den Satz "l'accès libre ne remet donc nullement en cause les droits de propriété intellectuelle des auteurs sur leurs œuvres" ernst nimmt, handelt es sich definitiv lediglich um GRATIS OA, denn es wird keinerlei "permission barrier" beseitigt.
Es ist völlig unverständlich, wieso man nicht eine Creative Commons-Lizenz, meinetwegen auch CC-BY-NC, gewählt hat, denn ohne den letzten Satz (La seule ...) könnte man zum Schluss kommen, dass die BOAI über die Fair-Use-Regelungen nicht wesentlich hinausgeht, also lediglich GRATIS-OA ist. Wesentlich genauer ist die Berliner Erklärung, die z.B. Bearbeitungen ausdrücklich erwähnt.
Es ist damit fraglich, dass die Lütticher Lizenz trotz ihrer Berufung auf die BOAI als LIBRE-OA konzipiert ist. Solange nicht z.B. klargestellt ist, ob Spiegelungen in anderen Repositorien oder Bearbeitungen (z.B. Übersetzungen) möglich sind, wird man ORBi nicht als Beispiel für LIBRE OA ansehen können.
In Wirklichkeit handelt es sich um eine Irreführung des Nutzers, denn die Berufung auf BOAI ist offenkundig missbräuchlich!
KlausGraf - am Freitag, 2. Januar 2009, 19:41 - Rubrik: Open Access
Xaver (Gast) meinte am 2009/01/05 09:22:
Eine Antwort auf Ihren Beitrag ist zu finden auf : http://openaccess.eprints.org/index.php?/archives/502-guid.html
KlausGraf antwortete am 2009/01/05 10:22:
Verfehlt den Punkt
Ich habe weder die höchst löblichen OA-Anstrengungen in Lüttich noch das dortige Mandat getadelt. Auf meine Kritikpunkte wird nicht eingegangen.