JOURNÉE D'ETUDE INTERNATIONALE: Jeudi 20 mai 2010 — Saint-Quentin-en-Yvelines
"L'effondrement des archives municipales de Cologne en Allemagne, le 3 mars 2009, dû à de graves erreurs humaines commises sur le chantier en cours pour la construction d'une nouvelle ligne de métro, ou encore le tremblement de terre qui a dévasté un mois plus tard, le 6 avril, le centre-ville de L'Aquila dans les Abruzzes, transformant notamment en ruines l'Archivio di Stato, ont non seulement fait de nombreuses victimes, mais ont également rappelé aux archivistes et aux historiens combien les centres d'archives restent fragiles, constamment menacés par des catastrophes, naturelles ou non. Le tremblement de terre qui a si
violemment ravagé Haïti et sa population, le 12 janvier 2010, en est malheureusement un nouvel exemple, avec l'effondrement
de plusieurs bibliothèques ou archives comme celles de Saint-Louis de Gonzague, aux documents souvent uniques.
La journée d'études internationale organisée par les Archives départementales des Yvelines, le Centre d'Histoire Culturelle des
Sociétés Contemporaines (CHCSC), le laboratoire État, société, religion Moyen Âge-Temps modernes (ESR) et le Master Pro Archives de l'Université de Versailles-Saint-Quentin, avec le soutien de l'ADEDA78, propose de réunir archivistes et historiens, en signe
de solidarité avec leurs collègues allemands, italiens et haïtiens. Quelles sont les leçons à tirer des catastrophes passées pour
mieux anticiper celles à venir ?
Face à de telles disparitions brutales, les archivistes doivent tout d'abord répondre à la situation d'urgence, sauver les archives
préservées, ce qui représente déjà un enjeu de taille, mobilisant différents acteurs, nationaux et internationaux. Une telle mobilisation, comme le travail de reconstitution des fonds perdus ou endommagés, nécessitent une étroite coopération entre archivistes et historiens. Si les copies privées ont traditionnellement été mises à contribution, la numérisation des fonds offre des possibilités de sauvegarde nouvelles qu’il convient d’identifier et de discuter, en les replaçant dans la longue durée.
Organisée avec le soutien actif du Conseil international des archives, la matinée sera consacrée aux témoignages des archivistes de Cologne et l'Aquila, puis à ceux des membres du Bouclier Bleu qui évoqueront leur engagement sur ces deux sites ainsi qu'à Haïti, dans un contexte que nous permettra de mieux cerner l’ancien ambassadeur de France dans ce pays. L'après-midi sera l'occasion de revenir sur deux études de cas exposées à double voix d'archivistes et d'historiens : la destruction des archives de
Naples et de celles de la Manche au cours de la Seconde Guerre mondiale.
9h00 Accueil des participants
9h30 Ouverture de la Journée
par les Présidents du Conseil général des Yvelines
et de l'Université de Versailles -Saint-Quentin-en-Yvelines
9h45 Introduction
David Leitch, Secrétaire général de l’International Council on Archives - ICA
I. Les catastrophes de Cologne, de L'Aquila et d’Haïti : récits croisés
Présidence : Elisabeth Gautier-Desvaux, Directrice des Archives départementales des Yvelines
10h00 Bettina Schmidt-Czaia, Directrice, Historisches Archiv, Cologne
10h40 Paolo Muzi, Archivio di Stato, L'Aquila
11h20 Pause
11h30 Christophe Jacobs, Président du comité français du "Bouclier Bleu"
12h00 Discussion animée par Christine Martinez, secrétaire générale adjointe de l'ICA,
et introduite par le témoignage d'Yves Gaudeul, ancien ambassadeur de France en Haïti
II. Reconstitution et usages des archives sinistrées : Naples et la Manche
Présidence : Gregory Quenet, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines / ESR
14h30 Gian Luca Borghese,
Étienne Anheim, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines / ESR
15h30 Pause
15h45 Gilles Désiré dit Gosset, Directeur des Archives départementales de la Manche
Véronique Gazeau, Université de Caen / CRAHM
16h45 Discussion
17h15 Conclusions par Steven Kaplan, Cornell University, Ithaca
Source
"L'effondrement des archives municipales de Cologne en Allemagne, le 3 mars 2009, dû à de graves erreurs humaines commises sur le chantier en cours pour la construction d'une nouvelle ligne de métro, ou encore le tremblement de terre qui a dévasté un mois plus tard, le 6 avril, le centre-ville de L'Aquila dans les Abruzzes, transformant notamment en ruines l'Archivio di Stato, ont non seulement fait de nombreuses victimes, mais ont également rappelé aux archivistes et aux historiens combien les centres d'archives restent fragiles, constamment menacés par des catastrophes, naturelles ou non. Le tremblement de terre qui a si
violemment ravagé Haïti et sa population, le 12 janvier 2010, en est malheureusement un nouvel exemple, avec l'effondrement
de plusieurs bibliothèques ou archives comme celles de Saint-Louis de Gonzague, aux documents souvent uniques.
La journée d'études internationale organisée par les Archives départementales des Yvelines, le Centre d'Histoire Culturelle des
Sociétés Contemporaines (CHCSC), le laboratoire État, société, religion Moyen Âge-Temps modernes (ESR) et le Master Pro Archives de l'Université de Versailles-Saint-Quentin, avec le soutien de l'ADEDA78, propose de réunir archivistes et historiens, en signe
de solidarité avec leurs collègues allemands, italiens et haïtiens. Quelles sont les leçons à tirer des catastrophes passées pour
mieux anticiper celles à venir ?
Face à de telles disparitions brutales, les archivistes doivent tout d'abord répondre à la situation d'urgence, sauver les archives
préservées, ce qui représente déjà un enjeu de taille, mobilisant différents acteurs, nationaux et internationaux. Une telle mobilisation, comme le travail de reconstitution des fonds perdus ou endommagés, nécessitent une étroite coopération entre archivistes et historiens. Si les copies privées ont traditionnellement été mises à contribution, la numérisation des fonds offre des possibilités de sauvegarde nouvelles qu’il convient d’identifier et de discuter, en les replaçant dans la longue durée.
Organisée avec le soutien actif du Conseil international des archives, la matinée sera consacrée aux témoignages des archivistes de Cologne et l'Aquila, puis à ceux des membres du Bouclier Bleu qui évoqueront leur engagement sur ces deux sites ainsi qu'à Haïti, dans un contexte que nous permettra de mieux cerner l’ancien ambassadeur de France dans ce pays. L'après-midi sera l'occasion de revenir sur deux études de cas exposées à double voix d'archivistes et d'historiens : la destruction des archives de
Naples et de celles de la Manche au cours de la Seconde Guerre mondiale.
9h00 Accueil des participants
9h30 Ouverture de la Journée
par les Présidents du Conseil général des Yvelines
et de l'Université de Versailles -Saint-Quentin-en-Yvelines
9h45 Introduction
David Leitch, Secrétaire général de l’International Council on Archives - ICA
I. Les catastrophes de Cologne, de L'Aquila et d’Haïti : récits croisés
Présidence : Elisabeth Gautier-Desvaux, Directrice des Archives départementales des Yvelines
10h00 Bettina Schmidt-Czaia, Directrice, Historisches Archiv, Cologne
10h40 Paolo Muzi, Archivio di Stato, L'Aquila
11h20 Pause
11h30 Christophe Jacobs, Président du comité français du "Bouclier Bleu"
12h00 Discussion animée par Christine Martinez, secrétaire générale adjointe de l'ICA,
et introduite par le témoignage d'Yves Gaudeul, ancien ambassadeur de France en Haïti
II. Reconstitution et usages des archives sinistrées : Naples et la Manche
Présidence : Gregory Quenet, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines / ESR
14h30 Gian Luca Borghese,
Étienne Anheim, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines / ESR
15h30 Pause
15h45 Gilles Désiré dit Gosset, Directeur des Archives départementales de la Manche
Véronique Gazeau, Université de Caen / CRAHM
16h45 Discussion
17h15 Conclusions par Steven Kaplan, Cornell University, Ithaca
Source
Wolf Thomas - am Dienstag, 9. März 2010, 20:54 - Rubrik: Bestandserhaltung
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Die heutige Sitzung kann ab 14:00 im Landtags-TV mit verfolgt werden. Wenn ich die Tagesordnung richtig verstanden habe, ist ab 18:20 mit dem Archivgesetz zu rechnen.
Nachtrag:
Zur Vorbereitung kann man inzwischen das Protokoll der Expertenanhörung des Kulturausschusses zum Archivgesetz online einsehen.
Nachtrag (20:45):
Gegen die Stimmen der Bündnisgrünen wurde der Beschlussvorschlag des Kulturausschusses durchgewunken. Da keine Beratung erfolgte, kann über die Gründe spekuliert werden.
Nachtrag:
Zur Vorbereitung kann man inzwischen das Protokoll der Expertenanhörung des Kulturausschusses zum Archivgesetz online einsehen.
Nachtrag (20:45):
Gegen die Stimmen der Bündnisgrünen wurde der Beschlussvorschlag des Kulturausschusses durchgewunken. Da keine Beratung erfolgte, kann über die Gründe spekuliert werden.
Wolf Thomas - am Dienstag, 9. März 2010, 08:18 - Rubrik: Archivrecht
Der erste Blick fällt auf
http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/17001
Wer Preprints nur auf Anforderung in einem IR zugänglich macht, verstößt gegen die guten wissenschaftlichen Sitten, da der Zugriff auf die noch nicht gedruckten Aufsätze nur Günstlingen des Autors möglich ist. Natürlich war das auch traditionell üblich, dass man Unveröffentlichtes nur auf Anforderung zugänglich machte - aber ORBi ist ein Open-Access-Repositorium, in dem man den/das "final draft" Open Access erwartet.
Was das soll:
http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/40441
Von 4 Teilen des Preprints sind 3 frei.
Und das gleiche Bild auch bei älteren Preprints, etwa
http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/8621
Wer eine Kopie anfordert, muss zwingend Name, Vorname, Affiliation und eine Nachricht angeben!
Hochschulangehörige müssen sich nur einloggen.
Dieser privilegierte Zugang der Lütticher Hochschulangehörigen führt den freien Austausch von Wissenschaft ad absurdum (abgesehen davon, dass rechtliche Zweifel bestehen, ob eine solche Veröffentlichung ohne Erlaubnis des Inhabers der ausschließlichen Nutzungsrechte in Belgien zulässig ist.)
Wer einen Wissenschaftler in Lüttich gut kennt, kommt natürlich an alles leicht dran, was in ORBi ist.
Stichproben haben im Bereich "History" überhaupt keinen freien Text ergeben.
Von daher kotzt es mich einfach nur an, wie dieses OA-IR als "Erfolgsmodell" ausgegeben wird.
http://recteur.blogs.ulg.ac.be/?p=465

http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/17001
Wer Preprints nur auf Anforderung in einem IR zugänglich macht, verstößt gegen die guten wissenschaftlichen Sitten, da der Zugriff auf die noch nicht gedruckten Aufsätze nur Günstlingen des Autors möglich ist. Natürlich war das auch traditionell üblich, dass man Unveröffentlichtes nur auf Anforderung zugänglich machte - aber ORBi ist ein Open-Access-Repositorium, in dem man den/das "final draft" Open Access erwartet.
Was das soll:
http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/40441
Von 4 Teilen des Preprints sind 3 frei.
Und das gleiche Bild auch bei älteren Preprints, etwa
http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/8621
Wer eine Kopie anfordert, muss zwingend Name, Vorname, Affiliation und eine Nachricht angeben!
Hochschulangehörige müssen sich nur einloggen.
Dieser privilegierte Zugang der Lütticher Hochschulangehörigen führt den freien Austausch von Wissenschaft ad absurdum (abgesehen davon, dass rechtliche Zweifel bestehen, ob eine solche Veröffentlichung ohne Erlaubnis des Inhabers der ausschließlichen Nutzungsrechte in Belgien zulässig ist.)
Wer einen Wissenschaftler in Lüttich gut kennt, kommt natürlich an alles leicht dran, was in ORBi ist.
Stichproben haben im Bereich "History" überhaupt keinen freien Text ergeben.
Von daher kotzt es mich einfach nur an, wie dieses OA-IR als "Erfolgsmodell" ausgegeben wird.
http://recteur.blogs.ulg.ac.be/?p=465

KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 03:36 - Rubrik: Open Access
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http://sifrix2.sdv.fr/F/?func=find-c&ccl_term=wrd%3D(gallica+ou+numeris%3F)+and+wba%3D01
Auch deutschsprachige Titel.
Auch deutschsprachige Titel.
KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 03:13 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 02:43 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 02:29 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 02:27 - Rubrik: Landesgeschichte
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http://www.bibliothek.uni-augsburg.de/dda/aktuell/neu_20100219.html
Bin ich der einzige, der in dem neuen Angebot eine eklatante Verschlechterung sieht? PDFs aus Einzelseiten - gehts eigentlich noch benutzerunfreundlicher? Durch die Einstellungen meines Browsers werden die PDFs auch nicht in dem dafür vorgesehenen Feld angezeigt. Selbst Gallica ist da weiter.
Bin ich der einzige, der in dem neuen Angebot eine eklatante Verschlechterung sieht? PDFs aus Einzelseiten - gehts eigentlich noch benutzerunfreundlicher? Durch die Einstellungen meines Browsers werden die PDFs auch nicht in dem dafür vorgesehenen Feld angezeigt. Selbst Gallica ist da weiter.
KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 02:18 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
http://pbc.gda.pl/
Diese Kooperation von Institutionen in und um Danzig soll auch die Digitalisate der Danziger Akademiebibliothek aufnehmen, auf die wir unter
http://archiv.twoday.net/stories/5831282/
hinwiesen.
Derzeit gibt es insgesamt 590 Publikationen.
Während die Bayerische Landesbibliothek Online bei den Kunstdenkmälerbänden nicht vom Fleck kommt, kann man hier 25 bayerische Kunstdenkmäler-Inventare einsehen.
Diese Kooperation von Institutionen in und um Danzig soll auch die Digitalisate der Danziger Akademiebibliothek aufnehmen, auf die wir unter
http://archiv.twoday.net/stories/5831282/
hinwiesen.
Derzeit gibt es insgesamt 590 Publikationen.
Während die Bayerische Landesbibliothek Online bei den Kunstdenkmälerbänden nicht vom Fleck kommt, kann man hier 25 bayerische Kunstdenkmäler-Inventare einsehen.
KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 01:34 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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KlausGraf - am Dienstag, 9. März 2010, 00:37 - Rubrik: Open Access
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Ersten Meldungen zufolge stieß der am vergangenen Wochenende bundesweit stattgefundene 5. TAG DER ARCHIVE auf sehr positive Resonanz in der Bevölkerung. Die Beteiligung an den unter dem Motto DEM VERBORGENEN AUF DER SPUR angebotenen Präsentationen, Führungen und Vortragsveranstaltungen hat in vielen Archiveinrichtungen die Erwartungen der Veranstalter weit übertroffen.
Eine Nachlese finden Sie hier: http://www.vda.archiv.net/presse/nachlese.html
Quelle: VdA, Pressemeldung, 8.3.2010
Ergänzung:
Staatsarchiv Sigmaringen: Schwäbische Zeitung Dank an Twitterer Andreas Praefcke!
Delmenhorst: Delmenhorster Kreisblatt
Stadtarchiv Remscheid: Rheinische Post
Stadtarchiv Krefeld: Pressemitteilung Stadt Krefeld
Stadtarchiv Reutlingen: Südwest Presse
Eine Nachlese finden Sie hier: http://www.vda.archiv.net/presse/nachlese.html
Quelle: VdA, Pressemeldung, 8.3.2010
Ergänzung:
Staatsarchiv Sigmaringen: Schwäbische Zeitung Dank an Twitterer Andreas Praefcke!
Delmenhorst: Delmenhorster Kreisblatt
Stadtarchiv Remscheid: Rheinische Post
Stadtarchiv Krefeld: Pressemitteilung Stadt Krefeld
Stadtarchiv Reutlingen: Südwest Presse
Wolf Thomas - am Montag, 8. März 2010, 22:09 - Rubrik: Oeffentlichkeitsarbeit







Der Twitterer _mst (Magnus Stoll) hat seine Fotoausbeute vom diesjährigen Tag der Archive via Twitter verfügbar gemacht.
Wolf Thomas - am Montag, 8. März 2010, 21:55 - Rubrik: Oeffentlichkeitsarbeit
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"Ex-Bläck-Fööss-Sänger Tommy Engel hat kurz nach dem Archiveinsturz dieses Lied zum Gedenken an die Opfer Kevin und Khalil geschrieben. Das Lied ist aber auch jenen gewidmet, die zwar mit dem Leben davongekommen sind, aber ihr Hab und Gut verloren haben. Zum Jahrestag haben Tommy Engel und Jürgen Fritz das Lied veröffentlicht. Es kann hier kostenlos gehört und heruntergeladen werden.
Die Künstler bitten mit der Aktion "Künstler für Kevin und Khalil" um Spenden. Mit dem Geld soll an der Einsturzstelle ein Kunstwerk entstehen, das an die beiden Todesopfer erinnert.
Spendenkonto-Nummer: 190 277 1839
Bankleitzahl: 370 501 98, Sparkasse Köln-Bonn
Stichwort: "Thomas Engel – Kölner Künstler für Kevin und Khalil""
Quelle: Kölner Stadt-Anzeiger mit Audio-Player
Die Künstler bitten mit der Aktion "Künstler für Kevin und Khalil" um Spenden. Mit dem Geld soll an der Einsturzstelle ein Kunstwerk entstehen, das an die beiden Todesopfer erinnert.
Spendenkonto-Nummer: 190 277 1839
Bankleitzahl: 370 501 98, Sparkasse Köln-Bonn
Stichwort: "Thomas Engel – Kölner Künstler für Kevin und Khalil""
Quelle: Kölner Stadt-Anzeiger mit Audio-Player
Wolf Thomas - am Montag, 8. März 2010, 21:47 - Rubrik: Kommunalarchive
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http://www.tagesspiegel.de/magazin/wissen/art304,3051537
Update: 30.10.2011: Noch keine Bücher verfügbar http://www.berlinacademic.com/
Update: 30.10.2011: Noch keine Bücher verfügbar http://www.berlinacademic.com/
KlausGraf - am Montag, 8. März 2010, 19:09 - Rubrik: Open Access
http://www.flickr.com/photos/salisburycathedral/sets/72157623380970471/
http://www.salisburycathedral.org.uk/news.php?id=470

http://www.salisburycathedral.org.uk/news.php?id=470

KlausGraf - am Montag, 8. März 2010, 18:39 - Rubrik: Hilfswissenschaften
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KlausGraf - am Montag, 8. März 2010, 15:21 - Rubrik: Filmarchive
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http://www.landesbibliothek.at/uploads/media/Folder/Festschrift_Ooe_Landesbibliothek2009.pdf
Mit etlichen Farbabbildungen von Handschriften und Inkunabeln.
Mit etlichen Farbabbildungen von Handschriften und Inkunabeln.
KlausGraf - am Montag, 8. März 2010, 14:36 - Rubrik: Kodikologie
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KlausGraf - am Montag, 8. März 2010, 14:31 - Rubrik: Unterhaltung
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KlausGraf - am Montag, 8. März 2010, 14:26 - Rubrik: Digitale Unterlagen
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http://begleitschreiben.twoday.net/stories/6224958/
Ja, natürlich gibt es schreckliche Webseiten, Onlinemagazine und Blogs. Oder einfach nur banale. Aber es gibt auch schreckliche und banale Bücher, Filme, Fernsehsendungen, Theaterstücke, Zeitschriften und Zeitungen ohne dass deshalb das Medium kollektiv verworfen wird. Warum wird also die Polyphonie wenn nicht als Gewinn so doch mindestens als Inspiration empfunden?
Ja, natürlich gibt es schreckliche Webseiten, Onlinemagazine und Blogs. Oder einfach nur banale. Aber es gibt auch schreckliche und banale Bücher, Filme, Fernsehsendungen, Theaterstücke, Zeitschriften und Zeitungen ohne dass deshalb das Medium kollektiv verworfen wird. Warum wird also die Polyphonie wenn nicht als Gewinn so doch mindestens als Inspiration empfunden?
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http://liswiki.org/wiki/Libraries_at_Facebook
Via
http://log.netbib.de/archives/2010/03/07/bibliotheken-auf-facebook
Via
http://log.netbib.de/archives/2010/03/07/bibliotheken-auf-facebook
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http://www.richardpoynder.co.uk/Geist_Interview.pdf
See also
http://www.laquadrature.net/en/start-collecting-signatures-on-acta-declaration
See also
http://www.laquadrature.net/en/start-collecting-signatures-on-acta-declaration
KlausGraf - am Montag, 8. März 2010, 13:49 - Rubrik: English Corner
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"Als einer der Letzten konnte sich Jochen Roessle aus dem einstürzenden Kölner Archivhaus retten. Und auch ein Jahr später hat er noch täglich mit den Folgen des Unglücks zu tun - als Retter für unzählige wertvolle Archivalien. "
Ein Beitrag für die WDR-Lokalzeit Köln von Jens Gleisberg
Ein Beitrag für die WDR-Lokalzeit Köln von Jens Gleisberg
Wolf Thomas - am Montag, 8. März 2010, 10:50 - Rubrik: Kommunalarchive
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"In 1946, Dr. David P. Boder, a psychology professor from Chicago's Illinois Institute of Technology, traveled to Europe to record the stories of Holocaust survivors in their own words.
Over a period of three months, he visited refugee camps in France, Switzerland, Italy, and Germany, carrying a wire recorder and 200 spools of steel wire, upon which he was able to record over 90 hours of first-hand testimony. These recordings represent the earliest known oral histories of the Holocaust, which are available through this online archive."
Link zur Homepage
Over a period of three months, he visited refugee camps in France, Switzerland, Italy, and Germany, carrying a wire recorder and 200 spools of steel wire, upon which he was able to record over 90 hours of first-hand testimony. These recordings represent the earliest known oral histories of the Holocaust, which are available through this online archive."
Link zur Homepage
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 20:19 - Rubrik: English Corner
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Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 20:04 - Rubrik: Musikarchive
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http://www.sciencia.cat/english/libraryenglish/publicationssc.htm
Monica Green (via MEDTEXTL): "Between 1990 and 2004, I published a periodic annotated bibliography in the Medieval Feminist Newsletter/Forum covering books and articles related to medieval women, gender, and medicine. A revised and expanded cumulative version of that bibliography has now been published and made freely available at http://www.sciencia.cat/english/libraryenglish/publicationssc.htm. (If the link doesn't seem to work, try cutting-and-pasting it into a new window on your browser.)
The previously published entries have been merged into a single alphabetical list by author, and some editorial commentary has been updated or modified. I have added items that were previously overlooked or that date before the original dates covered (back to 1980), and I have added new material published up through 2009. Besides medieval coverage, I have also included a few items that cross over into the early modern period since they carry forward issues that began in the late Middle Ages. I have also noted when materials are available gratis on the Internet and (at the end of the list) which items include primary sources. (English translations are noted when available.) All told, there are about 375 entries covering literature in all the western European languages. This bibliography is intended for free use, but please note that the editorial commentary should be properly credited if cited elsewhere."
Monica Green (via MEDTEXTL): "Between 1990 and 2004, I published a periodic annotated bibliography in the Medieval Feminist Newsletter/Forum covering books and articles related to medieval women, gender, and medicine. A revised and expanded cumulative version of that bibliography has now been published and made freely available at http://www.sciencia.cat/english/libraryenglish/publicationssc.htm. (If the link doesn't seem to work, try cutting-and-pasting it into a new window on your browser.)
The previously published entries have been merged into a single alphabetical list by author, and some editorial commentary has been updated or modified. I have added items that were previously overlooked or that date before the original dates covered (back to 1980), and I have added new material published up through 2009. Besides medieval coverage, I have also included a few items that cross over into the early modern period since they carry forward issues that began in the late Middle Ages. I have also noted when materials are available gratis on the Internet and (at the end of the list) which items include primary sources. (English translations are noted when available.) All told, there are about 375 entries covering literature in all the western European languages. This bibliography is intended for free use, but please note that the editorial commentary should be properly credited if cited elsewhere."
KlausGraf - am Sonntag, 7. März 2010, 15:53 - Rubrik: Frauenarchive
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Bruchstück eines mittelhochdeutschen, gereimten Gedichts - Mscr.Dresd.R.304
http://digital.slub-dresden.de/sammlungen/werkansicht/285145215/3/
Klaus Klein nahm das Fragment im Januar 2009 in den Handschriftencensus ohne nähere Angaben auf:
http://www.handschriftencensus.de/18917
Eine Suche in Google Book-Search:
http://books.google.de/books?hl=de&source=hp&q=die%20wile%20si%20hin%20strichen&oq=&um=1&ie=UTF-8&sa=N&tab=wp
Das Fragment stammt somit aus dem 'Passional'
http://www.handschriftencensus.de/werke/290
#forschung

http://digital.slub-dresden.de/sammlungen/werkansicht/285145215/3/
Klaus Klein nahm das Fragment im Januar 2009 in den Handschriftencensus ohne nähere Angaben auf:
http://www.handschriftencensus.de/18917
Eine Suche in Google Book-Search:
http://books.google.de/books?hl=de&source=hp&q=die%20wile%20si%20hin%20strichen&oq=&um=1&ie=UTF-8&sa=N&tab=wp
Das Fragment stammt somit aus dem 'Passional'
http://www.handschriftencensus.de/werke/290
#forschung

KlausGraf - am Sonntag, 7. März 2010, 15:40 - Rubrik: Kodikologie
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Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 15:37 - Rubrik: Internationale Aspekte
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KlausGraf - am Sonntag, 7. März 2010, 15:18 - Rubrik: Internationale Aspekte
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Die erste Filmversion von Lewis Carrolls "Alice im Wunderland" ist kürzlich durch das BFI National Archive wiederhergestellt worden.
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 15:10 - Rubrik: Filmarchive
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" ..... Der Freudenberger Kulturausschuss hatte vor seiner ersten Sitzung dieser Wahlperiode die Gelegenheit, aus erster Hand Informationen über den Stand der Planungen für die vollständige Wiederherstellung des Kölner Stadtarchivs zu bekommen. Archivarin Tanja Kaiser stand im Tiefgeschoss des neuen Rathauses Rede und Antwort zu Fragen über den mühsamen Prozess der Restaurierung von Akten und die Zusammenführung des großen Durcheinanders, das seit einem Jahr besteht.
300 Regalmeter hat Freudenberg bereitgestellt, um die Kölner Archivalien zwischenzulagern. Angeliefert wurden sie auf mehreren Paletten im August vorigen Jahres. Seither warten die Dokumente aus verschiedenen Jahrhunderten darauf, sortiert und geordnet zu werden. Eigens dafür hat das Kölner Stadtarchiv eine Software entwickeln lassen.
Tanja Kaiser beschrieb den Freudenberger Politikern, wie die Fachleute vorgehen: Um die in alle Windrichtungen verteilten Bestände zusammenzuführen, hat das Archiv „Bergungseinheiten” gebildet. Die losen Sammlungen aus den Kartons werden auf ihren Inhalt gesichtet. Was zusammengehört, bekommt einen Barcode, der in die Bergungssoftware eingelesen wird. Egal wo sich die Einzelteile einer Akte befinden – der Computer fügt sie zusammen.
Nach Freudenberg wurden „relativ trockene” Funde aus der Baugrube gebracht. Andere Dokumente, die nass geworden waren, werden beim Landschaftsverband nach einer besonderen Methode gefriergetrocknet und damit gerettet. Dann gibt es noch die „Köln-Flocken”: kleine Schnipsel, von denen niemand weiß, wohin sie gehören.
Der Wiederaufbau des Stadtarchivs kann dauern: geschätzte 30 Jahre. Zahlreiche Restauratoren wurden eingestellt; mit externer Hilfe wird bald begonnen, die in den „Asylen” gelagerten Dokumente aufzuarbeiten. So steht Tanja Kaiser im Rathaus ein Raum neben dem Büro von Stadtarchivar Detlef Köppen zur Verfügung. Freudenberg wird damit Schauplatz des großen Puzzles, aus dem das bedeutendste Archiv nördlich der Alpen wieder zusammengesetzt wird."
Quelle: Westfälische Rundschau, 3.3.2010
300 Regalmeter hat Freudenberg bereitgestellt, um die Kölner Archivalien zwischenzulagern. Angeliefert wurden sie auf mehreren Paletten im August vorigen Jahres. Seither warten die Dokumente aus verschiedenen Jahrhunderten darauf, sortiert und geordnet zu werden. Eigens dafür hat das Kölner Stadtarchiv eine Software entwickeln lassen.
Tanja Kaiser beschrieb den Freudenberger Politikern, wie die Fachleute vorgehen: Um die in alle Windrichtungen verteilten Bestände zusammenzuführen, hat das Archiv „Bergungseinheiten” gebildet. Die losen Sammlungen aus den Kartons werden auf ihren Inhalt gesichtet. Was zusammengehört, bekommt einen Barcode, der in die Bergungssoftware eingelesen wird. Egal wo sich die Einzelteile einer Akte befinden – der Computer fügt sie zusammen.
Nach Freudenberg wurden „relativ trockene” Funde aus der Baugrube gebracht. Andere Dokumente, die nass geworden waren, werden beim Landschaftsverband nach einer besonderen Methode gefriergetrocknet und damit gerettet. Dann gibt es noch die „Köln-Flocken”: kleine Schnipsel, von denen niemand weiß, wohin sie gehören.
Der Wiederaufbau des Stadtarchivs kann dauern: geschätzte 30 Jahre. Zahlreiche Restauratoren wurden eingestellt; mit externer Hilfe wird bald begonnen, die in den „Asylen” gelagerten Dokumente aufzuarbeiten. So steht Tanja Kaiser im Rathaus ein Raum neben dem Büro von Stadtarchivar Detlef Köppen zur Verfügung. Freudenberg wird damit Schauplatz des großen Puzzles, aus dem das bedeutendste Archiv nördlich der Alpen wieder zusammengesetzt wird."
Quelle: Westfälische Rundschau, 3.3.2010
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 15:03 - Rubrik: Kommunalarchive
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KlausGraf - am Sonntag, 7. März 2010, 14:56 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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Quelle: Jörg Block für zeit.de
"Über den Lokalteil einer Zeitung wurde gern ein bisschen verächtlich gesprochen. Da stehe nichts drin außer dem Ergebnis der letzten Kaninchenschau und den Glückwünschen zum 90. Geburtstag des ehemaligen Sparkassendirektors.
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Heute werden die Regionalzeitungen anders gesehen. Sie haben, wie alles bedrohte Kulturgut, neue Freunde gewonnen. Plötzlich entsinnt man sich, dass es doch gut ist, eine Zeitung zu haben, die über vielleicht doch nicht so unwichtige Baupläne in der Nachbarschaft berichtet.
Und wären mehrere Zeitungen nicht sogar noch besser als eine? Nur in den Metropolen gibt es echte Vielfalt, in Berlin, Hamburg, Frankfurt, München. In der Provinz dagegen gibt es in vielen Städten nur eine Lokalzeitung.
Wer diesen Umstand bedauert, ist spät dran. Viele Zeitungen sind schon vor 20 Jahren verschwunden, noch bevor das Internet kam. Die Verbliebenen halten sich.
Wer den Lokalteil retten will, muss also Zeitungen mit Lokalteil kaufen. Es steht viel weniger Kleintierkram drin, als man so denkt."
Dieser Aufruf der Zeit zur Rettung der Lokalzeitung dorf man wohl als verspätet bezeichnen. Schon längst hat das Sterben der Lokalredaktionen die kommunalen Archive erreicht. Mit Erscheinen der Karte ist diese schon veraltet. In Siegen bspw. residieren nur noch 2 Lokalredaktionen - immerhin. Unterlagen der aufgelösten Redaktion konnte sich das Siegener Stadtarchiv sichern. Ist dies ein Einzelfall oder ein Präzedenzfall für kommunale Archive in der Bundesrepublik? Weitere Beispiele werden gesucht, gerne als Kommentar.
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 14:51 - Rubrik: Medienarchive
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KlausGraf - am Sonntag, 7. März 2010, 14:48 - Rubrik: Unterhaltung
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24 de agosto
8.00 - 10.00 Cursos
8.00 – 12.00 Credenciamento
9.00 –17.00 III Seminário de Documentos Eletrônicos
19.00 Cerimônia e Conferência de abertura
O arquivo na sociedade contemporânea, por Bruno Delmas
(École Nationale des Chartes, França)
20.30 Apresentação da Orquestra Sinfônica de Santos e coquetel de confraternização
25 de agosto
8.00 –10.00 Cursos
10.00 – 12.20 Plenária: Revendo os clássicos: o documento de arquivo e seus atributos
Objetivo: discutir as características tradicionalmente associadas aos documentos de arquivo (organicidade, naturalidade, unicidade, autenticidade e imparcialidade), de modo a justificar sua pertinência no âmbito das atuais demarcações de fronteiras disciplinares.
10.00 - Presidente: Johanna W. Smit (Universidade de São Paulo)
- Conferencistas:
10.10 – 11.00 Geoffrey Yeo (University College London, Inglaterra)
11.00 – 11.50 Ana Maria de Almeida Camargo (Universidade de São Paulo)
11.50 – 12.20 Debate
12.20 – 14.00 Intervalo para almoço
14.00 – 16.30 Mesa redonda: Os arquivos municipais
Objetivo: confrontar modelos e sistemas de gestão, focalizando as soluções encontradas pelos arquivos públicos municipais para alargar sua área de jurisdição e funcionar como memória de toda a comunidade.
14.00 - Presidente: José Manuel Costa Alves (Fundação Arquivo e Memória de Santos)
- Palestrantes:
14.10 – 14.50 João Sabóia (Arquivo Distrital de Faro, Portugal)
14.50-15.30 - Silvia Regina da Costa Salgado (Fundação Prefeito Faria Lima)
15.30-16.10 – Ana Maria Penha Mena Pagnocca ( Arquivo Municipal de Rio Claro)
16.10- 16.30 Debate
16.30 – 17.00 Intervalo para café
17.00 Comunicações Livres
26 de agosto
8.00 – 10.00 Cursos
10.00 – 13.10 Plenária: Rumo à “desmaterialização” dos documentos
Objetivo: verificar até que ponto as novas tecnologias de gestão, armazenamento e acesso afetam o tratamento dispensado aos documentos de arquivo e a teoria que o fundamenta.
10.00 - Presidente: Ana Maria de Almeida Camargo (Universidade de São Paulo)
- Conferencistas:
10.10-11.00 Bruno Delmas (École Nationale des Chartes, França)
11.00-11.50 Johanna W. Smit (Universidade de São Paulo)
11.50-12.40 Margareth da Silva (Universidade Federal Fluminense)
12.40-13.10 Debate
13.10- 14.30 Intervalo para almoço
14.30 – 17.00 Mesa redonda: O acesso em questão
Objetivo: examinar, à luz da legislação, da história e da ética, a prática da confidencialidade e o direito de acesso a documentos produzidos pelo poder público.
14.30 Presidente: Jaime Antunes da Silva (Arquivo Nacional)
- Palestrantes:
14.40 – 15.20 Marie-Claude Delmas (Arquivo Nacional - França)
15.20 – 16.00 Georgette Medleg (UNB)
16.00 – 16.40 Janice Gonçalves (Universidade Estadual de Santa Catarina)
16.40-17.00 Debate
17.00 –17.30 Intervalo para café
17.00 Comunicações Livres
27 de agosto
8.00 –10.00 Cursos
10.00 – 13.10 Plenária: A imagem do arquivo
Objetivo: diagnosticar, a partir do contexto institucional e social dos arquivos, as diferentes posições que lhes são atribuídas, apontando eventuais estratégias para torná-los mais visíveis e importantes.
10.00 Presidente: Renato Tarciso Barbosa de Sousa (Universidade de Brasília)
- Conferencistas:
10.10 - 11.00 Terry Eastwood (University of British Columbia - Canada)
11.00 - 11.50 José Maria Jardim (Universidade Federal Fluminense)
11.50 - 12.40 Viviane Tessitore (Pontifícia Universidade Católica de São Paulo)
12.40 - 13.10 Debate
13.10 – 14.30 Intervalo para almoço
14.30– 17.00 Mesa redonda: Da informação ao conhecimento: o arquivista hoje
Objetivo: delinear o perfil do profissional capaz de atender a múltiplas demandas institucionais e sociais, identificando o papel dos programas de formação no desenvolvimento de habilidades e competências.
14.30 Presidente: Heloisa Esser dos Reis
(Diretora do Centro de Informação, Documentação e Arquivo da Universidade Federal de Goiás)
- Palestrantes:
14.40 - 15.20 Barbara Craig (University of Toronto,Canadá)
15.20 - 16.00 Lucia Maria Velloso de Oliveira (Fundação Casa de Rui Barbosa)
16.00 - 16.40 André Porto Ancona Lopez (Universidade de Brasília)
16. 40 - 17.00 Debate
17.00 Plenária de encerramento
18.00 Vin d´honneur
Link
8.00 - 10.00 Cursos
8.00 – 12.00 Credenciamento
9.00 –17.00 III Seminário de Documentos Eletrônicos
19.00 Cerimônia e Conferência de abertura
O arquivo na sociedade contemporânea, por Bruno Delmas
(École Nationale des Chartes, França)
20.30 Apresentação da Orquestra Sinfônica de Santos e coquetel de confraternização
25 de agosto
8.00 –10.00 Cursos
10.00 – 12.20 Plenária: Revendo os clássicos: o documento de arquivo e seus atributos
Objetivo: discutir as características tradicionalmente associadas aos documentos de arquivo (organicidade, naturalidade, unicidade, autenticidade e imparcialidade), de modo a justificar sua pertinência no âmbito das atuais demarcações de fronteiras disciplinares.
10.00 - Presidente: Johanna W. Smit (Universidade de São Paulo)
- Conferencistas:
10.10 – 11.00 Geoffrey Yeo (University College London, Inglaterra)
11.00 – 11.50 Ana Maria de Almeida Camargo (Universidade de São Paulo)
11.50 – 12.20 Debate
12.20 – 14.00 Intervalo para almoço
14.00 – 16.30 Mesa redonda: Os arquivos municipais
Objetivo: confrontar modelos e sistemas de gestão, focalizando as soluções encontradas pelos arquivos públicos municipais para alargar sua área de jurisdição e funcionar como memória de toda a comunidade.
14.00 - Presidente: José Manuel Costa Alves (Fundação Arquivo e Memória de Santos)
- Palestrantes:
14.10 – 14.50 João Sabóia (Arquivo Distrital de Faro, Portugal)
14.50-15.30 - Silvia Regina da Costa Salgado (Fundação Prefeito Faria Lima)
15.30-16.10 – Ana Maria Penha Mena Pagnocca ( Arquivo Municipal de Rio Claro)
16.10- 16.30 Debate
16.30 – 17.00 Intervalo para café
17.00 Comunicações Livres
26 de agosto
8.00 – 10.00 Cursos
10.00 – 13.10 Plenária: Rumo à “desmaterialização” dos documentos
Objetivo: verificar até que ponto as novas tecnologias de gestão, armazenamento e acesso afetam o tratamento dispensado aos documentos de arquivo e a teoria que o fundamenta.
10.00 - Presidente: Ana Maria de Almeida Camargo (Universidade de São Paulo)
- Conferencistas:
10.10-11.00 Bruno Delmas (École Nationale des Chartes, França)
11.00-11.50 Johanna W. Smit (Universidade de São Paulo)
11.50-12.40 Margareth da Silva (Universidade Federal Fluminense)
12.40-13.10 Debate
13.10- 14.30 Intervalo para almoço
14.30 – 17.00 Mesa redonda: O acesso em questão
Objetivo: examinar, à luz da legislação, da história e da ética, a prática da confidencialidade e o direito de acesso a documentos produzidos pelo poder público.
14.30 Presidente: Jaime Antunes da Silva (Arquivo Nacional)
- Palestrantes:
14.40 – 15.20 Marie-Claude Delmas (Arquivo Nacional - França)
15.20 – 16.00 Georgette Medleg (UNB)
16.00 – 16.40 Janice Gonçalves (Universidade Estadual de Santa Catarina)
16.40-17.00 Debate
17.00 –17.30 Intervalo para café
17.00 Comunicações Livres
27 de agosto
8.00 –10.00 Cursos
10.00 – 13.10 Plenária: A imagem do arquivo
Objetivo: diagnosticar, a partir do contexto institucional e social dos arquivos, as diferentes posições que lhes são atribuídas, apontando eventuais estratégias para torná-los mais visíveis e importantes.
10.00 Presidente: Renato Tarciso Barbosa de Sousa (Universidade de Brasília)
- Conferencistas:
10.10 - 11.00 Terry Eastwood (University of British Columbia - Canada)
11.00 - 11.50 José Maria Jardim (Universidade Federal Fluminense)
11.50 - 12.40 Viviane Tessitore (Pontifícia Universidade Católica de São Paulo)
12.40 - 13.10 Debate
13.10 – 14.30 Intervalo para almoço
14.30– 17.00 Mesa redonda: Da informação ao conhecimento: o arquivista hoje
Objetivo: delinear o perfil do profissional capaz de atender a múltiplas demandas institucionais e sociais, identificando o papel dos programas de formação no desenvolvimento de habilidades e competências.
14.30 Presidente: Heloisa Esser dos Reis
(Diretora do Centro de Informação, Documentação e Arquivo da Universidade Federal de Goiás)
- Palestrantes:
14.40 - 15.20 Barbara Craig (University of Toronto,Canadá)
15.20 - 16.00 Lucia Maria Velloso de Oliveira (Fundação Casa de Rui Barbosa)
16.00 - 16.40 André Porto Ancona Lopez (Universidade de Brasília)
16. 40 - 17.00 Debate
17.00 Plenária de encerramento
18.00 Vin d´honneur
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Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 14:33 - Rubrik: Internationale Aspekte
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The UN International Criminal Tribunal for Rwanda has embarked on a project to migrate its video recordings to high-resolution digital video files for the purpose of ensuring the long-term preservation of these unique records. This new development aims at enabling the Tribunal to permanently preserve the recordings which are expected to be 30,000 hours long at the end of the ICTR’s mandate.
Recently, therefore, the Tribunal entered into a contract with the internationally renowned Front Porch Digital (FPD) to conduct the digitization of the video recordings. FPD is a global leader in the migration and preservation of video tape to digital files, and is dedicated to developing technical solutions for the preservation, access and management of digital content.
The Tribunal has since 1999 produced video recordings of its trial proceedings. However video tape is subject to deterioration over time thus the need to transfer the video recordings to a new medium.
The digitization of the video recordings of the ICTR is part of a larger project undertaken by the ICTR to ensure the long-term preservation and to enhance the accessibility of the audio-visual recordings of the trial proceedings. Also conducted within the framework of this project is the in-house digitization of master audio recordings of the trial proceedings.
The process will also enhance the accessibility of these video recordings to the users of the ICTR’s archives, while also ensuring their long-term viability.
All digital audio and video files created as a result of this project will be reviewed and edited by the Court Management Section’s Audio-Visual Redaction staff. As a result, redacted versions of all recordings of the trial proceedings will be generated, which can then be made available to researchers, legal professionals, broadcasters and news agencies, the people of Rwanda, and the international community at large.
Link: Press release of the ICTR
Recently, therefore, the Tribunal entered into a contract with the internationally renowned Front Porch Digital (FPD) to conduct the digitization of the video recordings. FPD is a global leader in the migration and preservation of video tape to digital files, and is dedicated to developing technical solutions for the preservation, access and management of digital content.
The Tribunal has since 1999 produced video recordings of its trial proceedings. However video tape is subject to deterioration over time thus the need to transfer the video recordings to a new medium.
The digitization of the video recordings of the ICTR is part of a larger project undertaken by the ICTR to ensure the long-term preservation and to enhance the accessibility of the audio-visual recordings of the trial proceedings. Also conducted within the framework of this project is the in-house digitization of master audio recordings of the trial proceedings.
The process will also enhance the accessibility of these video recordings to the users of the ICTR’s archives, while also ensuring their long-term viability.
All digital audio and video files created as a result of this project will be reviewed and edited by the Court Management Section’s Audio-Visual Redaction staff. As a result, redacted versions of all recordings of the trial proceedings will be generated, which can then be made available to researchers, legal professionals, broadcasters and news agencies, the people of Rwanda, and the international community at large.
Link: Press release of the ICTR
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 14:27 - Rubrik: English Corner
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Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 14:26 - Rubrik: Erschließung
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"Nach fast zweijährigen Umbau- und Sanierungsarbeiten wird das Landeshauptarchiv in Schwerin voraussichtlich ab 15. März wieder für die Öffentlichkeit zugänglich sein. Er freue sich, dass das «historische Gedächtnis» des Landes künftig wieder Besuchern zur Verfügung steht, sagte Bildungsminister Henry Tesch (CDU) am Freitag nach einer Archivbesichtigung.
Während der Sanierung wurden unter anderem die Wandmalereien im Foyer, die Außenfassade und das Dach erneuert. Außerdem sei die zur Lagerung und Sicherung des Archivguts notwendige Technik installiert worden, sagte Archivleiter Andreas Röpcke. Für Internetrecherchen und die Sichtung von technischen Medien wurde ein zweiter Lesesaal eingerichtet. Mit dem Einbau eines neuen Fahrstuhls haben nun auch Rollstuhlfahrer einen barrierefreien Zugang zum Archiv.
Das Land investierte nach Angaben des Bildungsministeriums in den Umbau des Archivs rund 3,5 Millionen Euro. Das Gebäude wurde 1911 erbaut und beherbergt mehr als 7000 laufende Meter Akten, 15 000 Urkunden sowie 147 000 Karten, Pläne und Bilder zur Geschichte Mecklenburg-Vorpommerns."
Quelle: Link
Während der Sanierung wurden unter anderem die Wandmalereien im Foyer, die Außenfassade und das Dach erneuert. Außerdem sei die zur Lagerung und Sicherung des Archivguts notwendige Technik installiert worden, sagte Archivleiter Andreas Röpcke. Für Internetrecherchen und die Sichtung von technischen Medien wurde ein zweiter Lesesaal eingerichtet. Mit dem Einbau eines neuen Fahrstuhls haben nun auch Rollstuhlfahrer einen barrierefreien Zugang zum Archiv.
Das Land investierte nach Angaben des Bildungsministeriums in den Umbau des Archivs rund 3,5 Millionen Euro. Das Gebäude wurde 1911 erbaut und beherbergt mehr als 7000 laufende Meter Akten, 15 000 Urkunden sowie 147 000 Karten, Pläne und Bilder zur Geschichte Mecklenburg-Vorpommerns."
Quelle: Link
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 13:04 - Rubrik: Staatsarchive
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"Die Vatikanische Filmothek hat einen kinohistorischen Schatz wiederentdeckt: In den Beständen des Archivs tauchte eine Kopie von Giovanni Pastrones „Der Fall Trojas“ von 1911 auf. Der Historienfilm mit der damaligen Rekordlänge von 30 Minuten existierte bislang in einer 2005 rekonstruierten Version des Nationalen Filmmuseums Turin. Im Vergleich der beiden Fassungen habe sich gezeigt, dass die vatikanische Rolle praktisch vollständig erhalten sei, erläuterte die Leiterin des päpstlichen Filmarchivs, Claudia Di Giovanni, in der Vatikanzeitung „L´Osservatore Romano“ in der Samstagausgabe. Die filmgeschichtliche Bedeutung von „Der Fall Trojas“ liegt laut Di Giovanni nicht nur in der Länge des Films, der 600 Meter Zelluloid auf eine einzige Spule brachte. Mit der größeren Projektionsdauer ergaben sich auch neue Möglichkeiten für die Dramaturgie. Zudem experimentierte der italienische Regisseur Pastrone erstmals mit Kamerafahrten, statt nur starre Szenen zu zeigen."
Quelle: Radio Vatikan
Quelle: Radio Vatikan
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 12:59 - Rubrik: Filmarchive
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"Berlin guckt, was Köln verpfuschte" so titelt die Berliner ZeitungBZ ihren Bericht über die Ausstellung.
Auch der Focus berichtete ebenso wie die Yahoo-Nachrichten. Dem "Neuen Deutschland" fiel ein "kubistisches Faltkunstwerk" auf - ein stark malträtiertes Register.
Auch der Focus berichtete ebenso wie die Yahoo-Nachrichten. Dem "Neuen Deutschland" fiel ein "kubistisches Faltkunstwerk" auf - ein stark malträtiertes Register.
Wolf Thomas - am Sonntag, 7. März 2010, 12:32 - Rubrik: Kommunalarchive
Die Probleme von "Wikipedia loves art" werden reflektiert in dem schon etwas älteren Beitrag:
http://museumtwo.blogspot.com/2010/01/is-wikipedia-loves-art-getting-better.html
http://museumtwo.blogspot.com/2010/01/is-wikipedia-loves-art-getting-better.html
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KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 22:47 - Rubrik: Unterhaltung
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KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 22:11 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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Das Archivgesetz bleibt in diesem Punkt leider wie vorgesehen:
http://archiv.twoday.net/stories/6220312/
Positiv sind aber weitere Punkte:
Es können weiterhin Patientenunterlagen nicht anonymisiert übernommen werden.
Auch archivisches Sammlungsgut ist Archivgut.
http://archiv.twoday.net/stories/6220312/
Positiv sind aber weitere Punkte:
Es können weiterhin Patientenunterlagen nicht anonymisiert übernommen werden.
Auch archivisches Sammlungsgut ist Archivgut.
KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 21:53 - Rubrik: Archivrecht
Ein Jahr nach dem Einsturz des Kölner Stadtarchivs beginnen Informatiker und Historiker damit ein digitales historisches Archiv aufzubauen.
Holger Simon vom Kunsthistorischen Institut der Universität Köln ist der Vorsitzende des Vereins "Prometheus – das verteilte Bildarchiv für Forschung und Lehre". Nordwestradio-Moderator Tom Grote sprach mit ihm über den Aufbau digitaler Archive und über den Unterschied zur herkömmlichen Archivierung historischer Dokumente.
Link zur Audio-Datei
Holger Simon vom Kunsthistorischen Institut der Universität Köln ist der Vorsitzende des Vereins "Prometheus – das verteilte Bildarchiv für Forschung und Lehre". Nordwestradio-Moderator Tom Grote sprach mit ihm über den Aufbau digitaler Archive und über den Unterschied zur herkömmlichen Archivierung historischer Dokumente.
Link zur Audio-Datei
Wolf Thomas - am Samstag, 6. März 2010, 21:29 - Rubrik: Kommunalarchive
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Renate Ell in den VDI-Nachrichten:".... Nasse Dokumente wurden eingefroren, damit sie nicht schimmeln. Sie müssen in Gefriertrocknungsanlagen aufgetaut werden, in denen das gefrorene Wasser direkt verdampft, ohne dass das Papier noch mal nass wird - und zwar bald, denn nach zwei Jahren im Eis bilden sich Kristalle und zerstören das Papier.
Um besonders wertvolle Stücke kümmerte sich Prof. Robert Fuchs, Leiter des Instituts für Restaurierungs- und Konservierungswissenschaft der Fachhochschule Köln, mit seinen Studenten. Für manche Schadensfälle wurden neue Restaurierungstechniken entwickelt, etwa für die Reinigung von Foto-Negativen.
"Die müssen innerhalb eines Jahres behandelt werden, sonst sind sie verloren", mahnt Fuchs. Ein Diplomand befasst sich mit der Trennung von Pergamentblättern, die nass geworden waren und trotz schonender Trocknung in einer Vakuum-Kammer zusammenkleben.
Manche Archivalien haben den Einsturz beinahe unversehrt überstanden, andere sind verschmutzt und zerrissen - bis hin zu ganz kleinen Fetzen, im Archivjargon "Köln-Flocken". Solche Schnipsel sollen mithilfe der Technik zusammengepuzzelt werden, die Dr. Bertram Nickolay am Fraunhofer-Institut für Produktionsanlagen und Konstruktionstechnik in Berlin entwickelt hatte, um die zerrissenen Stasi-Akten wieder zusammenzusetzen: Ein Scanner erfasst Farbe, Form und Schriftbild der Schnipsel, eine Software rekonstruiert die Seiten damit werden sie wieder lesbar und die Restauratoren haben eine Rekonstruktionsvorlage.
Dokumente aus der Zeit bis 1815 werden schon bald als Digitalkopie im Internet verfügbar sein. Diese Bestände waren auf Mikrofilm gesichert und in einem ehemaligen Bergwerksstollen im Schwarzwald eingelagert worden, dem "Zentralen Bergungsort der Bundesrepublik Deutschland". Aus den Filmen entsteht jetzt ein weltweit einmaliges Online-Archiv.
"Wir werden gezwungenermaßen sehr modern", sagte die Archivdirektorin Bettina Schmidt-Czaja den VDI nachrichten. Nach und nach würden die geborgenen und restaurierten Originale ebenfalls digitalisiert. .....
Schmidt-Czaja mahnt zur Eile: "Wenn es uns nicht gelingt, schnell genug ausreichende Restaurierungskapazitäten aufzubauen, verlieren wir vieles von dem, was die vielen Helfer mühsam geborgen haben.""
Um besonders wertvolle Stücke kümmerte sich Prof. Robert Fuchs, Leiter des Instituts für Restaurierungs- und Konservierungswissenschaft der Fachhochschule Köln, mit seinen Studenten. Für manche Schadensfälle wurden neue Restaurierungstechniken entwickelt, etwa für die Reinigung von Foto-Negativen.
"Die müssen innerhalb eines Jahres behandelt werden, sonst sind sie verloren", mahnt Fuchs. Ein Diplomand befasst sich mit der Trennung von Pergamentblättern, die nass geworden waren und trotz schonender Trocknung in einer Vakuum-Kammer zusammenkleben.
Manche Archivalien haben den Einsturz beinahe unversehrt überstanden, andere sind verschmutzt und zerrissen - bis hin zu ganz kleinen Fetzen, im Archivjargon "Köln-Flocken". Solche Schnipsel sollen mithilfe der Technik zusammengepuzzelt werden, die Dr. Bertram Nickolay am Fraunhofer-Institut für Produktionsanlagen und Konstruktionstechnik in Berlin entwickelt hatte, um die zerrissenen Stasi-Akten wieder zusammenzusetzen: Ein Scanner erfasst Farbe, Form und Schriftbild der Schnipsel, eine Software rekonstruiert die Seiten damit werden sie wieder lesbar und die Restauratoren haben eine Rekonstruktionsvorlage.
Dokumente aus der Zeit bis 1815 werden schon bald als Digitalkopie im Internet verfügbar sein. Diese Bestände waren auf Mikrofilm gesichert und in einem ehemaligen Bergwerksstollen im Schwarzwald eingelagert worden, dem "Zentralen Bergungsort der Bundesrepublik Deutschland". Aus den Filmen entsteht jetzt ein weltweit einmaliges Online-Archiv.
"Wir werden gezwungenermaßen sehr modern", sagte die Archivdirektorin Bettina Schmidt-Czaja den VDI nachrichten. Nach und nach würden die geborgenen und restaurierten Originale ebenfalls digitalisiert. .....
Schmidt-Czaja mahnt zur Eile: "Wenn es uns nicht gelingt, schnell genug ausreichende Restaurierungskapazitäten aufzubauen, verlieren wir vieles von dem, was die vielen Helfer mühsam geborgen haben.""
Wolf Thomas - am Samstag, 6. März 2010, 21:16
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http://creativecommons.org/weblog/entry/20922

http://mis.historiska.se/mis/sok/bild.asp?uid=307684 CC-BY-NC-ND
http://mis.historiska.se/mis/sok/bild.asp?uid=307684 CC-BY-NC-ND
KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 13:47 - Rubrik: English Corner
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KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 13:45 - Rubrik: Open Access
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KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 13:41 - Rubrik: English Corner
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[T]he BBC reports that a deal has been struck: some 14,000 items will be transferred to the library of Cardiff University, after the university, the Welsh Assembly Government and the Higher Education Funding Council for Wales came up with £1.2 million to facilitate the sale. The university plans to digitize selected rare items from the collection and make them available online.
http://philobiblos.blogspot.com/2010/03/cardiff-books-to-stay-in-wales.html
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/wales/south_east/8550408.stm
See here:
http://archiv.twoday.net/search?q=cardiff

http://philobiblos.blogspot.com/2010/03/cardiff-books-to-stay-in-wales.html
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/wales/south_east/8550408.stm
See here:
http://archiv.twoday.net/search?q=cardiff

KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 13:28 - Rubrik: English Corner
Der Südkurier, vor der Pressezensurkammer Opfer der fürstlichen Anwälte, hat ein Skandälchen ausgegraben, das weiteres Licht auf den "Fürsten" als Vorbild wirft.
[I]n Wien, kümmert sich ein Jurist namens Heinrich Kellner als Justitiar der ehrwürdigen Stiftung, welche den hochkarätig-seltenen Orden „Pour le Mérite“ an verdiente Persönlichkeiten vergibt, um die Stiftungsverwaltung. Und hat gewöhnlich mit einer so ehrenwerten Gesellschaft wie dem Schriftsteller Martin Walser, dem Architekten Norman Foster oder dem Schriftsteller Umberto Eco zu tun. Aber Dr. Kellner hat sich auch um einen schwierigen Kandidaten zu kümmern: Heinrich zu Fürstenberg.
Mit dem nämlich liegt der Wiener Jurist und damit die renommierte Ordens-Stiftung in einem erbitterten Clinch. Es geht dabei um die Rückgabe des Ordens und dessen symbolischen Insignien, welche die Stiftung einst dem verstorbenen Fürsten Joachim auf Lebzeiten verliehen hat. Beharrlich aber weigert sich dessen Erbe Fürst Heinrich, das schmucke blaue Kreuz samt Bruststern und damit den förmlichen Ordensbesitz der Stiftung zurückzugeben, wie dies alle bisherigen Nachkommen der Träger seit 1740 – darunter Papst Johannes Paul II oder der ägyptische Staatspräsident Anwar el Sadat – mit aller Selbstverständlichkeit getan haben. Auch Andreas Wilts, der Archivar bei Fürstenberg, hatte nach Anmahnung aus Wien diese „Rückstellung“ bereits avisiert. Doch dann kreuzte Fürst Heinrich in diese Absicht und entschied, den Orden im krassen Widerspruch zu den Stiftungsstatuten seiner privaten Sammlung einzuverleiben.
Das Problem der europaweit agierenden Stiftung: Weil die Zahl der Ordensträger begrenzt ist, Fürst Heinrich als Joachim Erbe aber als Träger nicht in Frage kommt (sei er für das Ansehens des Ordens doch „eine ernste Belastung“, schrieb Kellner jetzt in einem Brief an Fürstenberg), werde durch den Vorgang die Nachfolge eines neuen Ordensträgers blockiert. Also dringt man in Wien inzwischen in recht geharnischter Manier auf Herausgabe und kündigte in einem Schreiben vom 19. Februar gar strafrechtliche Konsequenzen wegen mutmaßlicher Unterschlagung an. Und ausdrücklich schlägt darin die Stiftung jede künftige Förderung durch Fürstenberg aus. Eine solche sei, so heißt es aus Wien, „in reputativer Hinsicht nicht gerade eine Wohltat.“
Update:
http://www.schwarzwaelder-bote.de/wm?catId=79032&ort=7833369&artId=14744675
[I]n Wien, kümmert sich ein Jurist namens Heinrich Kellner als Justitiar der ehrwürdigen Stiftung, welche den hochkarätig-seltenen Orden „Pour le Mérite“ an verdiente Persönlichkeiten vergibt, um die Stiftungsverwaltung. Und hat gewöhnlich mit einer so ehrenwerten Gesellschaft wie dem Schriftsteller Martin Walser, dem Architekten Norman Foster oder dem Schriftsteller Umberto Eco zu tun. Aber Dr. Kellner hat sich auch um einen schwierigen Kandidaten zu kümmern: Heinrich zu Fürstenberg.
Mit dem nämlich liegt der Wiener Jurist und damit die renommierte Ordens-Stiftung in einem erbitterten Clinch. Es geht dabei um die Rückgabe des Ordens und dessen symbolischen Insignien, welche die Stiftung einst dem verstorbenen Fürsten Joachim auf Lebzeiten verliehen hat. Beharrlich aber weigert sich dessen Erbe Fürst Heinrich, das schmucke blaue Kreuz samt Bruststern und damit den förmlichen Ordensbesitz der Stiftung zurückzugeben, wie dies alle bisherigen Nachkommen der Träger seit 1740 – darunter Papst Johannes Paul II oder der ägyptische Staatspräsident Anwar el Sadat – mit aller Selbstverständlichkeit getan haben. Auch Andreas Wilts, der Archivar bei Fürstenberg, hatte nach Anmahnung aus Wien diese „Rückstellung“ bereits avisiert. Doch dann kreuzte Fürst Heinrich in diese Absicht und entschied, den Orden im krassen Widerspruch zu den Stiftungsstatuten seiner privaten Sammlung einzuverleiben.
Das Problem der europaweit agierenden Stiftung: Weil die Zahl der Ordensträger begrenzt ist, Fürst Heinrich als Joachim Erbe aber als Träger nicht in Frage kommt (sei er für das Ansehens des Ordens doch „eine ernste Belastung“, schrieb Kellner jetzt in einem Brief an Fürstenberg), werde durch den Vorgang die Nachfolge eines neuen Ordensträgers blockiert. Also dringt man in Wien inzwischen in recht geharnischter Manier auf Herausgabe und kündigte in einem Schreiben vom 19. Februar gar strafrechtliche Konsequenzen wegen mutmaßlicher Unterschlagung an. Und ausdrücklich schlägt darin die Stiftung jede künftige Förderung durch Fürstenberg aus. Eine solche sei, so heißt es aus Wien, „in reputativer Hinsicht nicht gerade eine Wohltat.“
Update:
http://www.schwarzwaelder-bote.de/wm?catId=79032&ort=7833369&artId=14744675
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S. 133
Leiter des Universitätsarchivs Heidelberg (A 15)
Diözesanarchiv Limburg
Leiter des Universitätsarchivs Heidelberg (A 15)
Diözesanarchiv Limburg
KlausGraf - am Samstag, 6. März 2010, 00:50 - Rubrik: Personalia
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Earlier in their policy, they say “The Faculty of the Harvard Business School is committed to disseminating the fruits of its research and scholarship as widely as possible.” Is it just me, or does it seem like there’s an “except when the school, not some other publisher, makes money from it” implicitly tagged on at the end?
http://bibwild.wordpress.com/2010/03/02/harvard-business-school-open-access-policy/
http://bibwild.wordpress.com/2010/03/02/harvard-business-school-open-access-policy/
KlausGraf - am Freitag, 5. März 2010, 18:29 - Rubrik: Open Access
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KlausGraf - am Freitag, 5. März 2010, 18:24 - Rubrik: Genealogie
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http://ocp.hul.harvard.edu/reading/
The Harvard Libraries have launched a very cool new online project, "Reading: Harvard Views of Readers, Readership, and Reading History." In total, this digital library offers "more than 250,000 pages from 1,200 individual items, including 800 published books and 400 manuscript selections," from across the Harvard libraries system.
Among the most interesting sections to me is "Marginalia," where they've digitized works containing marginalia by Thomas Carlyle, Ralph Waldo Emerson, William James, Herman Melville, and Hester Thrale Piozzi. They've also digitized William Wordsworth's library catalog, and the highlights gallery is well worth a browse.
This digital collection/virtual exhibit is a perfect example of how of libraries can harness technological tools. Great work!
http://philobiblos.blogspot.com/2010/03/reading-at-harvard.html

The Harvard Libraries have launched a very cool new online project, "Reading: Harvard Views of Readers, Readership, and Reading History." In total, this digital library offers "more than 250,000 pages from 1,200 individual items, including 800 published books and 400 manuscript selections," from across the Harvard libraries system.
Among the most interesting sections to me is "Marginalia," where they've digitized works containing marginalia by Thomas Carlyle, Ralph Waldo Emerson, William James, Herman Melville, and Hester Thrale Piozzi. They've also digitized William Wordsworth's library catalog, and the highlights gallery is well worth a browse.
This digital collection/virtual exhibit is a perfect example of how of libraries can harness technological tools. Great work!
http://philobiblos.blogspot.com/2010/03/reading-at-harvard.html

KlausGraf - am Freitag, 5. März 2010, 18:05 - Rubrik: English Corner
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http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,681842,00.html
Zum Thema Kapuziner siehe
http://archiv.twoday.net/search?q=kapuziner
Zum Thema Kapuziner siehe
http://archiv.twoday.net/search?q=kapuziner
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http://www.archiviocapitolinorisorsedigitali.it/index.php
Über 2000 Pergamenturkunden aus dem Orsini-Archiv, Auflösung ist allerdings unzureichend.
Via
http://filosofiastoria.wordpress.com/2010/03/01/archivio-storico-capitolino-documenti-digitalizzati/
Über 2000 Pergamenturkunden aus dem Orsini-Archiv, Auflösung ist allerdings unzureichend.
Via
http://filosofiastoria.wordpress.com/2010/03/01/archivio-storico-capitolino-documenti-digitalizzati/
KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 17:46 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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Aus der Sicht des US-Rechts:
http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=1542124
Via
http://illicit-cultural-property.blogspot.com/2010/03/chen-on-fiduciary-duty-and-deaccession.html
http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=1542124
Via
http://illicit-cultural-property.blogspot.com/2010/03/chen-on-fiduciary-duty-and-deaccession.html
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KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 16:57 - Rubrik: Archivrecht
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KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 16:52 - Rubrik: English Corner
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http://version1.europeana.eu/web/europeana-project/documents
Siehe
http://archiv.twoday.net/search?q=europeana
Siehe
http://archiv.twoday.net/search?q=europeana
KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 16:05 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 15:31 - Rubrik: Genealogie
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http://www.ftd.de/it-medien/medien-internet/:angriffe-und-kritik-auf-google-mit-gebruell/50083557.html
http://www.fischmarkt.de/2010/03/es_geht_um_mehr_als_nur_um_google.html
http://www.fischmarkt.de/2010/03/es_geht_um_mehr_als_nur_um_google.html
KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 15:25 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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Eingesandt
Vom Fortgang des Archivars
Der Beruf des Archivars hat in den letzten fünf Jahren einen entscheidenden Wandel vollzogen. War er bisher ein Bewahrer von Quellen und Tradition, ist er nun ein Manager von Dateien und Aktenkassierer. War er früher geschichts-, ist er heute nur karrierebewusst und entwickelt sich zum Techniker, dessen Hauptaugenmerk Schnittstellen und Datenbanken gilt. Unterzog er sich früher der mühevollen Aufgabe des Aktenaussonderns und Bewertens vor Ort, bewertet er heute nach. D.h. was seine Vorgänger wohl überlegt und begründet ins Haus geholt hatten, wird nun kassiert. Die Nachbewertungskriterien sind dabei statistischer und nicht mehr inhaltlicher Natur, also der Materie nicht angemessen und unwissenschaftlich. Nicht die Dokumentation der politischen und gesellschaftlichen Prozesse innerhalb des Zuständigkeitsbereichs, sondern die Schaffung von Lagerkapazität ist das Ziel. Diese Tätigkeit wird dazu mit Nachbewertungsdiskursen verkleidet, die vor allem der Rechtfertigung des Berufsstandes dienen. Die Erschließung des Aktenmaterials muss hintanstehen oder wird an Hilfskräfte outgesourced. Die früher übliche Auswertung der Quellen, das sog. Forschen, unterbleibt. Auf diese Weise schwinden die Geschichtskenntnisse des Archivars. Bewertungskriterien entbehren der wissenschaftlichen Begründung. Bewertung durch den Archivar wird im digitalen Zeitalter dann endgültig überflüssig (werden), da einzelne Vorgänge oder Akten nicht mehr vorliegen bzw. erst rekonstruiert werden müssten. Objekte des „Archivierens“ werden Datenbanken sein.
Es ist nicht mehr nachvollziehbar, dass für den Eintritt in den höheren Archivdienst ein Studium Voraussetzung ist. Die Promotion ist selbstredend komplett obsolet. Auch die sog. Archivpädagogik und die Funktion als Dienstleister im regionalen Ausstellungswesen erfordern kein Geschichts- oder archivwissenschaftliches Studium. Problembewusstsein für diese mit hohem Qualitätsverlust verbundene Entwicklung scheint weder in den deutschen Archivverwaltungen noch in der Archivschule vorhanden zu sein.
Ernst Haft
Vom Fortgang des Archivars
Der Beruf des Archivars hat in den letzten fünf Jahren einen entscheidenden Wandel vollzogen. War er bisher ein Bewahrer von Quellen und Tradition, ist er nun ein Manager von Dateien und Aktenkassierer. War er früher geschichts-, ist er heute nur karrierebewusst und entwickelt sich zum Techniker, dessen Hauptaugenmerk Schnittstellen und Datenbanken gilt. Unterzog er sich früher der mühevollen Aufgabe des Aktenaussonderns und Bewertens vor Ort, bewertet er heute nach. D.h. was seine Vorgänger wohl überlegt und begründet ins Haus geholt hatten, wird nun kassiert. Die Nachbewertungskriterien sind dabei statistischer und nicht mehr inhaltlicher Natur, also der Materie nicht angemessen und unwissenschaftlich. Nicht die Dokumentation der politischen und gesellschaftlichen Prozesse innerhalb des Zuständigkeitsbereichs, sondern die Schaffung von Lagerkapazität ist das Ziel. Diese Tätigkeit wird dazu mit Nachbewertungsdiskursen verkleidet, die vor allem der Rechtfertigung des Berufsstandes dienen. Die Erschließung des Aktenmaterials muss hintanstehen oder wird an Hilfskräfte outgesourced. Die früher übliche Auswertung der Quellen, das sog. Forschen, unterbleibt. Auf diese Weise schwinden die Geschichtskenntnisse des Archivars. Bewertungskriterien entbehren der wissenschaftlichen Begründung. Bewertung durch den Archivar wird im digitalen Zeitalter dann endgültig überflüssig (werden), da einzelne Vorgänge oder Akten nicht mehr vorliegen bzw. erst rekonstruiert werden müssten. Objekte des „Archivierens“ werden Datenbanken sein.
Es ist nicht mehr nachvollziehbar, dass für den Eintritt in den höheren Archivdienst ein Studium Voraussetzung ist. Die Promotion ist selbstredend komplett obsolet. Auch die sog. Archivpädagogik und die Funktion als Dienstleister im regionalen Ausstellungswesen erfordern kein Geschichts- oder archivwissenschaftliches Studium. Problembewusstsein für diese mit hohem Qualitätsverlust verbundene Entwicklung scheint weder in den deutschen Archivverwaltungen noch in der Archivschule vorhanden zu sein.
Ernst Haft
Nachtrag von Anfang Februar: 40 Regelmeter durchnässte Archivalien im ostwestfälischen Blomberg. Das Klo im Keller wirkte wie ein Überlauf, sonst wäre es noch schlimmer gekommen.
http://www.lz-online.de/lokales/kreis_lippe/3364897_Land_unter_in_Blombergs_Gedaechtnis.html
http://www.lz-online.de/aktuelles/top_news/3365998_Erste_Hilfe_fuer_die_nassen_Akten.html
http://www.lz-online.de/lokales/kreis_lippe/3364897_Land_unter_in_Blombergs_Gedaechtnis.html
http://www.lz-online.de/aktuelles/top_news/3365998_Erste_Hilfe_fuer_die_nassen_Akten.html
Dietmar Bartz - am Donnerstag, 4. März 2010, 14:01 - Rubrik: Kommunalarchive
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Ein Redebeitrag von Frank Möller zur Veranstaltung „Schutt und Schande“, 3.3.2010.
Link zum Redetext (PDF)
Zur Veranstaltung s. http://archiv.twoday.net/stories/6210217/
Weiterer Möller-Text zum Thema: http://archiv.twoday.net/stories/6210225/
Link zum Redetext (PDF)
Zur Veranstaltung s. http://archiv.twoday.net/stories/6210217/
Weiterer Möller-Text zum Thema: http://archiv.twoday.net/stories/6210225/
Wolf Thomas - am Donnerstag, 4. März 2010, 13:47 - Rubrik: Kommunalarchive
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(Quelle: THW)
"Am heutigen Mittwoch jährt sich der Einsturz des Kölner Stadtarchivs zum ersten Mal. Über 2.500 THW-Kräfte aus mehr als 100 THW-Ortsverbänden unterstützten die Feuerwehren und Sanitätsdienste an der Unglücksstelle.
Am 3. März 2009 war das siebenstöckige Gebäude in sich zusammengestürzt und hatte einen 25 Meter tiefen Krater hinterlassen. Zwei Menschen kamen dabei ums Leben und 30 Regalkilometer mit wertvollem Kulturgut wurden verschüttet.
Durchschnittlich 100 THW-Kräfte pro Schicht stellten damals die Beleuchtung und die Stromversorgung am Einsatzort sicher. Mit dem Einsatzstellen-Sicherungssystem (ESS) überwachten die THW-Helferinnen und Helfer Bewegungen in einsturzgefährdeten Gebäudeteilen. Das THW stützte die Gebäudeteile ab und sicherte dadurch viele Wertgegenstände der Anwohner."
Quelle: THW, Einsatzmeldungen
Wolf Thomas - am Donnerstag, 4. März 2010, 13:18 - Rubrik: Kommunalarchive
Wolf Thomas - am Donnerstag, 4. März 2010, 12:18 - Rubrik: Archivrecht
Manfred Zach verarbeitet "in seinem Schlüsselroman 'Monrepos oder die Kälte der Macht' [...] seine Erfahrungen in der Stuttgarter Regierungszentrale unter den Ministerpräsidenten Filbinger und Späth". ( http://de.wikipedia.org/wiki/Manfred_Zach )
Zitat:
"Nächstes Mal versetze ich Sie ins Archiv. Auch das war ein Spechtscher Wunschtraum:" [Anmerkung: Späth tritt originellerweise als Specht auf] "widerborstige Beamte im Handumdrehen versetzen zu können. Ins Archiv zum Beispiel. Archive galten ihm als Inbegriff der Nutzlosigkeit. Lauter totes gestapeltes Wissen. Und bleiche, spitznasige Gesellen, die den Muff verwalteten, mit Ärmelschonern und gebeugtem Nacken. Archive kamen gleich nach Friedhöfen. Jemanden dorthin strafzuversetzen, hieß in Spechts Verständnis, ihn legal umzubringen. Er drohte es so oft an, dass ihm der Chef der Archivverwaltung eines Tages einen langen, empörten Brief schrieb. Da er ihn auch an die Öffentlichkeit lancierte, machte Specht eilends einen Rückzieher und versicherte dem Gekränkten, dass er seine Arbeit für außerordentlich verdienstvoll halte. Dann erzählte er es den Journalisten und amüsierte sich könglich." (Manfred Zach. Monrepos oder die Kälte der Macht. Sonderausgabe Tübingen 2001 bei Klöpfer und Meyer. S. 182)
Zitat:
"Nächstes Mal versetze ich Sie ins Archiv. Auch das war ein Spechtscher Wunschtraum:" [Anmerkung: Späth tritt originellerweise als Specht auf] "widerborstige Beamte im Handumdrehen versetzen zu können. Ins Archiv zum Beispiel. Archive galten ihm als Inbegriff der Nutzlosigkeit. Lauter totes gestapeltes Wissen. Und bleiche, spitznasige Gesellen, die den Muff verwalteten, mit Ärmelschonern und gebeugtem Nacken. Archive kamen gleich nach Friedhöfen. Jemanden dorthin strafzuversetzen, hieß in Spechts Verständnis, ihn legal umzubringen. Er drohte es so oft an, dass ihm der Chef der Archivverwaltung eines Tages einen langen, empörten Brief schrieb. Da er ihn auch an die Öffentlichkeit lancierte, machte Specht eilends einen Rückzieher und versicherte dem Gekränkten, dass er seine Arbeit für außerordentlich verdienstvoll halte. Dann erzählte er es den Journalisten und amüsierte sich könglich." (Manfred Zach. Monrepos oder die Kälte der Macht. Sonderausgabe Tübingen 2001 bei Klöpfer und Meyer. S. 182)
Angela Ullmann - am Donnerstag, 4. März 2010, 08:18 - Rubrik: Wahrnehmung
Ein Beitrag von Jörg Biesler für WDR 3 Resonanzen am 3.3.2010: "Ein Jahr ist es nun her, dass das Gebäude des Kölner Stadtarchivs wie aus dem Nichts in sich zusammenbrach. Zwei Menschen kamen dabei ums Leben, tausende von wertvollen historischen Dokumenten wurden im Schutt begraben, die Restaurierungsarbeiten für mühsam geborgene Akten werden noch Jahrzehnte dauern."
Quelle: Link zur Sendungsseite
Quelle: Link zur Sendungsseite
Wolf Thomas - am Donnerstag, 4. März 2010, 07:16 - Rubrik: Kommunalarchive
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"Das Lebenswerk des Bildhauers Erwin Heerich hat ein eigenes Archiv bekommen. Das Archiv ist auf der Raketenstation bei Neuss untergebracht. Es umfasst Arbeiten auf Papier sowie Skupturen und Modelle des Künstlers. Heerich war Schüler Ewald Matarés an der Düsseldorfer Kunstakademie. Seine Plastiken arbeiten stark mit geometrischen Formen. Für die Insel Hombroich hat er Skulpturen und Pavillons entworfen. Erwin Heerich starb 2004."
Quelle: WDR 3, Kulturnachrichten, 3.3.2010
Link zum Wikipedia-Artikel
Link zum einem Videobeitrag von eiskeller.tv auf Facebook
Quelle: WDR 3, Kulturnachrichten, 3.3.2010
Link zum Wikipedia-Artikel
Link zum einem Videobeitrag von eiskeller.tv auf Facebook
Wolf Thomas - am Donnerstag, 4. März 2010, 07:14 - Rubrik: Kulturgut
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"Anlässlich des Sachstandsberichtes zum Einsturz des Kölner Historischen Stadtarchivs im Bundestagsausschuss für Kultur und Medien erklären der kultur- und medienpolitischer Sprecher der CDU/CSU-Bundestagsfraktion Wolfgang Börnsen (Bönstrup) MdB und die zuständige Berichterstatterin Prof. Monika Grütters MdB:
Auch der Bund ist aufgefordert, sich finanziell am Wiederaufbau des Kölner Stadtarchives zu beteiligen. Bisher gibt es bereits eine Unterstützung seitens der Bundesregierung mit Personal und Beratung durch Bundeseinrichtungen, wie zum Beispiel durch das Bundesarchiv.
Mit der Gründung einer Stiftung bürgerlichen Rechts hat die Stadt Köln eine hilfreiche Initiative ergriffen. Die Stadt selber ist mit fünf Millionen Euro beteiligt, das Land NRW hat eine Million zugesagt.
Fast 85 Prozent der Bestände sind geborgen, doch 10 Prozent lagern noch im Grundwasser. Bei mehr als 5 Prozent des wertvollen Schriftgutes muss mit einem Totalverlust gerechnet werden. Und auch was geborgen ist, ist noch nicht gerettet, denn kein Archivgut ist unversehrt.
Eine vollständige Restaurierung wird auf 6 300 Personenjahre gerechnet. Der bisher erfolgte Wiederaufbau des Historischen Archivs durch die sieben Projektgruppen verdient große Anerkennung. Den Gesamtschaden der Kölner Archivzerstörung beziffern Fachleute auf mindestens 350 Millionen Restaurierungskosten. Damit handelt es sich um einen der größten Kulturschäden unseres Landes im letzten Jahrzehnt. Deutschlands älteste Großstadt, so wurde befürchtet, habe ihr Gedächtnis verloren. Die Wiederherstellung des Kölner „Stadtgedächtnisses“ gehört zur staatlichen Gesamtverantwortung. "
Quelle: Pressemitteilung der CDU/CSU-Bundestagsfraktion, 3.3.2010
Nachtrag, 04.03.2010:
Ausschuss für Kultur und Medien - 04.03.2010: Stadtarchiv Köln: 10 Prozent der Bestände lagern noch im Grundwasser
"Es gibt nichts, was nicht beschädigt wurde. Mit dieser Kurzformel fasste Professor Georg Quander, Kulturdezernent der Stadt Köln, seinen Teil des Berichts über die Lage ein Jahr nach dem Einsturz des Historischen Archivs der Stadt Köln zusammen. Der Ausschuss für Kultur und Medien hatte ihn und Bettina Schmidt-Czaia, die Direktorin des Archivs, am Mittwochnachmittag eingeladen, um Informationen über die aktuelle Situation und die Perspektiven des Archivs zu erhalten.
Zwar seien 85 Prozent der Bestände geborgen, aber ”geborgen heißt noch nicht gerettet“, betonte Quander. Kein einzelnes Stück könne ohne vorherige aufwendige Restaurierung zugänglich gemacht werden. ”Das ist eine generationenübergreifende Aufgabe“, die über 30 Jahre dauern würde, wenn 200 Restauratoren gleichzeitig an der Rettung arbeiten würden, rechnete Quander vor. Immer noch lägen 10 Prozent der Bestände im Grundwasser, Experten gingen von einem Totalverlust von 5 Prozent der Bestände aus. Bisher geborgene Archivalien, führte Quander weiter aus, seien auf 19 ”Asylarchive verteilt“ worden. Als problematisch erweise sich in diesem Zusammenhang aber nun vor allem, einen Überblick über diese Bestände zu bekommen. ”Momentan können wir den Nachlassgebern die Frage nicht beantworten, was mit den Dokumenten geschehen ist, die sie uns überlassen haben.“ Derzeit sind nach seinen Ausführungen 90.000 Stücke mit einer speziellen Software identifiziert worden. Auch über die Kosten gab Quander einen Überblick: 153 Millionen Euro bringt die Stadt Köln von 2009 bis 2013 für ”einsturzbedingte Aufwendungen“ aus, davon entfallen 61 Millionen Euro auf die Rettung und Wiederherstellung der Archivalien. Um diesen enormen Finanzierungsaufwand zu sichern, wird eine ”Stiftung Stadtgedächtnis“ gegründet, an der sich neben Köln auch das Land Nordrhein-Westfalen und beide großen Kirchen beteiligen werden. Außerdem gebe es ”positive Signale“, dass sich auch der Bund an der Stiftung beteiligen wird, sagte Quander.
Bettina Schmidt-Czaia betonte: ”Um Schönheitsreparaturen geht es nicht, es geht schlicht um die Nutzbarkeit und Restaurierung der Archivalien.“ Neben den Schäden an den einzelnen Stücken erweise es sich vor allem als Problem, dass die Bestände ”ihren Kontext völlig verloren“ hätten. Es helfe einem Nutzer ja nicht, führte sie aus, einen Brief eines Politikers vor sich zu haben, wenn er nicht weiß, in welchem inhaltlichen Zusammenhang dieser geschrieben worden sei. Neben der Identifizierung der Stücke gehe es demnach vor allem um das Wiederherstellen der Kontexte, die Vorbereitung für die Restaurierung aber auch um die Digitalisierung, sagte sie. Zwar habe man auch vor dem Einsturz schon mit der Digitalisierung begonnen, doch sei es gewissermaßen eine Chance dieser Tragödie, dieses Projekt nun unter ganz anderen Vorzeichen voranzutreiben und zu intensivieren. Sie kündigte an, dass im Juli und August die letzten Exemplare aus dem Grundwasser geborgen werden sollen, nachdem an der Einsturzstelle eine Bergbaugrube mit den entsprechenden Sicherungsvorkehrungen errichtet worden sei."
Quelle: Bundestag, Pressemitteilung 4.3.2010
Nachtrag 05.03.2010:
"Bund bewilligt eine Million Euro für Stadtarchiv Köln
Kulturstaatsminister Bernd Neumann teilte am (heutigen) Freitag in Berlin mit, dass sich der Bund an der „Stiftung Historisches Archiv der Stadt Köln“ beteiligen wird. Dafür werden aus dem Kulturhaushalt des Bundes eine Million Euro zur Verfügung gestellt. Der Haushaltsausschuss des Bundestages hat einen entsprechenden Beschluss gefasst.
Das Land Nordrhein-Westfalen hatte sich ebenfalls in dieser Woche bereit erklärt, sich mit eine Million Euro an der Stiftung zu beteiligen.
Kulturstaatsminister Bernd Neumann erklärte: "Ich freue mich, dass es nach dem heutigen Beschluss des Haushaltsausschusses möglich geworden ist, dass sich der Bund mit einer Million Euro an der geplanten Stiftung für den Wiederaufbau des historischen Archivs beteiligt und damit einen Beitrag leisten kann, die Restaurierung und Wiederherstellung von wertvollem Archivgut voranzubringen. Ohnehin haben viele Einrichtungen meines Hauses – zum Beispiel das Bundesarchiv, die Anna Amalia Bibliothek, die Stiftung Deutsche Kinemathek oder das Deutsche Literaturarchiv - schon bislang personelle Unterstützung bei der Bergung und vorläufigen Sicherung von Archivalien geleistet."
Zweck der juristisch selbstständigen Stiftung privaten Rechts "Stiftung Historisches Archiv der Stadt Köln" ist die Förderung von Kunst und Kultur, insbesondere der Erhalt bzw. die Instandsetzung der Archivalien des Historischen Archivs der Stadt Köln, die beim Einsturz des Gebäudes am 3. März 2009 beschädigt wurden, sowie deren Bestandszusammenführung, Digitalisierung und Erforschung.
Quelle: PRESSE- UND INFORMATIONSAMT DER BUNDESREGIERUNG PRESSEMITTEILUNG NR.: 64 v. 5.3.2010
Auch der Bund ist aufgefordert, sich finanziell am Wiederaufbau des Kölner Stadtarchives zu beteiligen. Bisher gibt es bereits eine Unterstützung seitens der Bundesregierung mit Personal und Beratung durch Bundeseinrichtungen, wie zum Beispiel durch das Bundesarchiv.
Mit der Gründung einer Stiftung bürgerlichen Rechts hat die Stadt Köln eine hilfreiche Initiative ergriffen. Die Stadt selber ist mit fünf Millionen Euro beteiligt, das Land NRW hat eine Million zugesagt.
Fast 85 Prozent der Bestände sind geborgen, doch 10 Prozent lagern noch im Grundwasser. Bei mehr als 5 Prozent des wertvollen Schriftgutes muss mit einem Totalverlust gerechnet werden. Und auch was geborgen ist, ist noch nicht gerettet, denn kein Archivgut ist unversehrt.
Eine vollständige Restaurierung wird auf 6 300 Personenjahre gerechnet. Der bisher erfolgte Wiederaufbau des Historischen Archivs durch die sieben Projektgruppen verdient große Anerkennung. Den Gesamtschaden der Kölner Archivzerstörung beziffern Fachleute auf mindestens 350 Millionen Restaurierungskosten. Damit handelt es sich um einen der größten Kulturschäden unseres Landes im letzten Jahrzehnt. Deutschlands älteste Großstadt, so wurde befürchtet, habe ihr Gedächtnis verloren. Die Wiederherstellung des Kölner „Stadtgedächtnisses“ gehört zur staatlichen Gesamtverantwortung. "
Quelle: Pressemitteilung der CDU/CSU-Bundestagsfraktion, 3.3.2010
Nachtrag, 04.03.2010:
Ausschuss für Kultur und Medien - 04.03.2010: Stadtarchiv Köln: 10 Prozent der Bestände lagern noch im Grundwasser
"Es gibt nichts, was nicht beschädigt wurde. Mit dieser Kurzformel fasste Professor Georg Quander, Kulturdezernent der Stadt Köln, seinen Teil des Berichts über die Lage ein Jahr nach dem Einsturz des Historischen Archivs der Stadt Köln zusammen. Der Ausschuss für Kultur und Medien hatte ihn und Bettina Schmidt-Czaia, die Direktorin des Archivs, am Mittwochnachmittag eingeladen, um Informationen über die aktuelle Situation und die Perspektiven des Archivs zu erhalten.
Zwar seien 85 Prozent der Bestände geborgen, aber ”geborgen heißt noch nicht gerettet“, betonte Quander. Kein einzelnes Stück könne ohne vorherige aufwendige Restaurierung zugänglich gemacht werden. ”Das ist eine generationenübergreifende Aufgabe“, die über 30 Jahre dauern würde, wenn 200 Restauratoren gleichzeitig an der Rettung arbeiten würden, rechnete Quander vor. Immer noch lägen 10 Prozent der Bestände im Grundwasser, Experten gingen von einem Totalverlust von 5 Prozent der Bestände aus. Bisher geborgene Archivalien, führte Quander weiter aus, seien auf 19 ”Asylarchive verteilt“ worden. Als problematisch erweise sich in diesem Zusammenhang aber nun vor allem, einen Überblick über diese Bestände zu bekommen. ”Momentan können wir den Nachlassgebern die Frage nicht beantworten, was mit den Dokumenten geschehen ist, die sie uns überlassen haben.“ Derzeit sind nach seinen Ausführungen 90.000 Stücke mit einer speziellen Software identifiziert worden. Auch über die Kosten gab Quander einen Überblick: 153 Millionen Euro bringt die Stadt Köln von 2009 bis 2013 für ”einsturzbedingte Aufwendungen“ aus, davon entfallen 61 Millionen Euro auf die Rettung und Wiederherstellung der Archivalien. Um diesen enormen Finanzierungsaufwand zu sichern, wird eine ”Stiftung Stadtgedächtnis“ gegründet, an der sich neben Köln auch das Land Nordrhein-Westfalen und beide großen Kirchen beteiligen werden. Außerdem gebe es ”positive Signale“, dass sich auch der Bund an der Stiftung beteiligen wird, sagte Quander.
Bettina Schmidt-Czaia betonte: ”Um Schönheitsreparaturen geht es nicht, es geht schlicht um die Nutzbarkeit und Restaurierung der Archivalien.“ Neben den Schäden an den einzelnen Stücken erweise es sich vor allem als Problem, dass die Bestände ”ihren Kontext völlig verloren“ hätten. Es helfe einem Nutzer ja nicht, führte sie aus, einen Brief eines Politikers vor sich zu haben, wenn er nicht weiß, in welchem inhaltlichen Zusammenhang dieser geschrieben worden sei. Neben der Identifizierung der Stücke gehe es demnach vor allem um das Wiederherstellen der Kontexte, die Vorbereitung für die Restaurierung aber auch um die Digitalisierung, sagte sie. Zwar habe man auch vor dem Einsturz schon mit der Digitalisierung begonnen, doch sei es gewissermaßen eine Chance dieser Tragödie, dieses Projekt nun unter ganz anderen Vorzeichen voranzutreiben und zu intensivieren. Sie kündigte an, dass im Juli und August die letzten Exemplare aus dem Grundwasser geborgen werden sollen, nachdem an der Einsturzstelle eine Bergbaugrube mit den entsprechenden Sicherungsvorkehrungen errichtet worden sei."
Quelle: Bundestag, Pressemitteilung 4.3.2010
Nachtrag 05.03.2010:
"Bund bewilligt eine Million Euro für Stadtarchiv Köln
Kulturstaatsminister Bernd Neumann teilte am (heutigen) Freitag in Berlin mit, dass sich der Bund an der „Stiftung Historisches Archiv der Stadt Köln“ beteiligen wird. Dafür werden aus dem Kulturhaushalt des Bundes eine Million Euro zur Verfügung gestellt. Der Haushaltsausschuss des Bundestages hat einen entsprechenden Beschluss gefasst.
Das Land Nordrhein-Westfalen hatte sich ebenfalls in dieser Woche bereit erklärt, sich mit eine Million Euro an der Stiftung zu beteiligen.
Kulturstaatsminister Bernd Neumann erklärte: "Ich freue mich, dass es nach dem heutigen Beschluss des Haushaltsausschusses möglich geworden ist, dass sich der Bund mit einer Million Euro an der geplanten Stiftung für den Wiederaufbau des historischen Archivs beteiligt und damit einen Beitrag leisten kann, die Restaurierung und Wiederherstellung von wertvollem Archivgut voranzubringen. Ohnehin haben viele Einrichtungen meines Hauses – zum Beispiel das Bundesarchiv, die Anna Amalia Bibliothek, die Stiftung Deutsche Kinemathek oder das Deutsche Literaturarchiv - schon bislang personelle Unterstützung bei der Bergung und vorläufigen Sicherung von Archivalien geleistet."
Zweck der juristisch selbstständigen Stiftung privaten Rechts "Stiftung Historisches Archiv der Stadt Köln" ist die Förderung von Kunst und Kultur, insbesondere der Erhalt bzw. die Instandsetzung der Archivalien des Historischen Archivs der Stadt Köln, die beim Einsturz des Gebäudes am 3. März 2009 beschädigt wurden, sowie deren Bestandszusammenführung, Digitalisierung und Erforschung.
Quelle: PRESSE- UND INFORMATIONSAMT DER BUNDESREGIERUNG PRESSEMITTEILUNG NR.: 64 v. 5.3.2010
Wolf Thomas - am Donnerstag, 4. März 2010, 07:06 - Rubrik: Kommunalarchive
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Suckale-Redlefsen, Gude: Die Handschriften des 8. bis 11. Jahrhunderts der Staatsbibliothek Bamberg, Bd.: 2, Abbildungen, Wiesbaden, 2004
http://daten.digitale-sammlungen.de/~db/0004/bsb00046213/images/
Bd. 1:
http://daten.digitale-sammlungen.de/~db/0004/bsb00046214/images/

http://daten.digitale-sammlungen.de/~db/0004/bsb00046213/images/
Bd. 1:
http://daten.digitale-sammlungen.de/~db/0004/bsb00046214/images/

KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 04:55 - Rubrik: Kodikologie
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KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 04:33 - Rubrik: Parlamentsarchive
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KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 04:29 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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http://fontes-historiae-iuris.univ-lille2.fr
Keine eigene digitale Sammlung, sondern Nachweise franzödischsprachiger Werke aus Gallica und Google Books.
Keine eigene digitale Sammlung, sondern Nachweise franzödischsprachiger Werke aus Gallica und Google Books.
KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 04:25 - Rubrik: Digitale Bibliotheken
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480.000 Dokumente
http://www.base-search.net/index.php?q=dccoll:ftinternetarch
Aber was nützt das, wenn wichtige Digitalisate fehlen?
Siehe am Beispiel Sudhoff:
http://www.archive.org/search.php?query=sudhoff%20AND%20mediatype:texts
Nichts davon in BASE!
http://www.base-search.net/index.php?q=dccoll:ftinternetarch
Aber was nützt das, wenn wichtige Digitalisate fehlen?
Siehe am Beispiel Sudhoff:
http://www.archive.org/search.php?query=sudhoff%20AND%20mediatype:texts
Nichts davon in BASE!
KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 01:21 - Rubrik: Digitale Unterlagen
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KlausGraf - am Donnerstag, 4. März 2010, 01:20 - Rubrik: English Corner
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http://franconica.uni-wuerzburg.de/Franconica/topographia.html
Digitalisiert und mit einer Ortssuche versehen wurden Merian Franken 1648 und das Geographische Lexikon 1799/1804.
Die übliche Ignoranz der bayerischen Bibliotheken zeigt sich daran, dass das Erfassungsprojekt in Wikisource vollständig übergangen wird.
http://de.wikisource.org/wiki/Topographia_Franconiae

Digitalisiert und mit einer Ortssuche versehen wurden Merian Franken 1648 und das Geographische Lexikon 1799/1804.
Die übliche Ignoranz der bayerischen Bibliotheken zeigt sich daran, dass das Erfassungsprojekt in Wikisource vollständig übergangen wird.
http://de.wikisource.org/wiki/Topographia_Franconiae

KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 22:18 - Rubrik: Landesgeschichte
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KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 21:27 - Rubrik: Unterhaltung
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"wir haben auch damit begonnen, gemeinfreie Aufsätze, die bei uns im Rahmen der Dokumentlieferung digitalisiert werden, in ART-Dok dauerhaft zu archivieren und nachzuweisen (siehe ART-Dok-Retro )"
http://blog.arthistoricum.net/heidelberger-ub-publiziert-kunsthistorische-artikel-und-bucher-online/
http://archiv.ub.uni-heidelberg.de/artdok/abfrage_collections.php?la=de
Und für die Altertumswissenschaft analog:
http://archiv.ub.uni-heidelberg.de/propylaeumdok/abfrage_collections.php?la=de
Damit wird etwas realisiert, was ich schon 2001 gefordert habe:
http://www.ub.uni-dortmund.de/listen/inetbib/msg18577.html
http://blog.arthistoricum.net/heidelberger-ub-publiziert-kunsthistorische-artikel-und-bucher-online/
http://archiv.ub.uni-heidelberg.de/artdok/abfrage_collections.php?la=de
Und für die Altertumswissenschaft analog:
http://archiv.ub.uni-heidelberg.de/propylaeumdok/abfrage_collections.php?la=de
Damit wird etwas realisiert, was ich schon 2001 gefordert habe:
http://www.ub.uni-dortmund.de/listen/inetbib/msg18577.html
KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 21:19 - Rubrik: Open Access
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Kommentar zu http://blog.arthistoricum.net/publish-first-filter-later
Lieber Herr Kohle,
ich empfinde es als Unverschämtheit, mich als konservativen Unkenrufer zu bezeichnen.
Richtig ist, dass mir die Zeit fehlte, eine ausführliche Stellungnahme zu Peer Review und anderen Qualitätssicherungsverfahren abzugeben.
Sie finden aber zum Thema Peer Review über 80 Einträge in Archivalia, die zur Erhellung der Problematik beitragen:
* http://archiv.twoday.net/search?q=peer+review
Ich darf hervorheben:
http://archiv.twoday.net/stories/5886308/
Ich komme aus einer Disziplin, die kein striktes Peer Review kennt und ich selbst habe bei über 200 wissenschaftlichen Veröffentlichungen seit 1975 selbst auch noch kein Peer Review erlebt. Ich habe allerdings für eine englischsprachige Zeitschrift zum Thema Open Access einmal als Gutachter agiert. Und ich habe je ein Gutachten für die österreichische Forschungsförderungsorganisation und für die DFG abgegeben. Meine eigene Erfahrungen mit Peer Review kann man also durchaus als "bescheiden" bezeichnen.
Richtig ist, dass die Open-Access-Bewegung die Forderung nach Peer Review wie eine Monstranz vor sich her trägt, und dass mir dieser Fetischcharakter missfällt.
Da ich seit Jahren dafür plädiere, Abschlussarbeiten auch ohne Empfehlung eines Gutachters in den Hochschulschriftenservern zu veröffentlichen bzw. sogar eine Pflichtveröffentlichung zu fordern, frage ich mich, was an meiner Position "konservativ" ist.
Ich habe auch keinerlei Sympathien für die Praxis von Hochschulen (z.B. Göttingen) eigene Open-Access-Server von den Servern für Dissertationen usw. zu trennen.
Was mir am E-Journal Kunstgeschichte missfällt ist, dass hier mit dem Begriff "Peer Review" geworben wird, obwohl nichts dergleichen stattfindet. Einzig und allein korrekt (und kein Betrug an Nachwuchswissenschaftlern) wäre von "Open Review" zu sprechen.
Ich denke, in der Sache sind wir uns einig. Wir sollten neue internetbasierte Bewertungsformen erproben und nicht fetischartig an "Peer Review" festhalten. Da sollte man dann aber auch Verbündete nicht durch unbegründete Herabsetzungen verprellen, denn ich kann nicht erkennen, dass mein Beitrag unsachlich war (wenngleich sicher nicht willkommen).
Lieber Herr Kohle,
ich empfinde es als Unverschämtheit, mich als konservativen Unkenrufer zu bezeichnen.
Richtig ist, dass mir die Zeit fehlte, eine ausführliche Stellungnahme zu Peer Review und anderen Qualitätssicherungsverfahren abzugeben.
Sie finden aber zum Thema Peer Review über 80 Einträge in Archivalia, die zur Erhellung der Problematik beitragen:
* http://archiv.twoday.net/search?q=peer+review
Ich darf hervorheben:
http://archiv.twoday.net/stories/5886308/
Ich komme aus einer Disziplin, die kein striktes Peer Review kennt und ich selbst habe bei über 200 wissenschaftlichen Veröffentlichungen seit 1975 selbst auch noch kein Peer Review erlebt. Ich habe allerdings für eine englischsprachige Zeitschrift zum Thema Open Access einmal als Gutachter agiert. Und ich habe je ein Gutachten für die österreichische Forschungsförderungsorganisation und für die DFG abgegeben. Meine eigene Erfahrungen mit Peer Review kann man also durchaus als "bescheiden" bezeichnen.
Richtig ist, dass die Open-Access-Bewegung die Forderung nach Peer Review wie eine Monstranz vor sich her trägt, und dass mir dieser Fetischcharakter missfällt.
Da ich seit Jahren dafür plädiere, Abschlussarbeiten auch ohne Empfehlung eines Gutachters in den Hochschulschriftenservern zu veröffentlichen bzw. sogar eine Pflichtveröffentlichung zu fordern, frage ich mich, was an meiner Position "konservativ" ist.
Ich habe auch keinerlei Sympathien für die Praxis von Hochschulen (z.B. Göttingen) eigene Open-Access-Server von den Servern für Dissertationen usw. zu trennen.
Was mir am E-Journal Kunstgeschichte missfällt ist, dass hier mit dem Begriff "Peer Review" geworben wird, obwohl nichts dergleichen stattfindet. Einzig und allein korrekt (und kein Betrug an Nachwuchswissenschaftlern) wäre von "Open Review" zu sprechen.
Ich denke, in der Sache sind wir uns einig. Wir sollten neue internetbasierte Bewertungsformen erproben und nicht fetischartig an "Peer Review" festhalten. Da sollte man dann aber auch Verbündete nicht durch unbegründete Herabsetzungen verprellen, denn ich kann nicht erkennen, dass mein Beitrag unsachlich war (wenngleich sicher nicht willkommen).
KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 20:58 - Rubrik: Open Access
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BILD bringt es auf den Punkt.
KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 16:45 - Rubrik: Kommunalarchive
news of #archives in Chile see http://twitter.com/SistemasBN/dibam & #fb groups: Biblioteca Nacional & Chile 2010 Blue Shield Solidarity
http://twitter.com/rcdl/status/9914280028
http://www.facebook.com/group.php?v=wall&ref=search&gid=339267682892
http://twitter.com/rcdl/status/9914280028
http://www.facebook.com/group.php?v=wall&ref=search&gid=339267682892
KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 16:36 - Rubrik: Internationale Aspekte
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KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 16:34 - Rubrik: Kommunalarchive
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-------- Original Message --------
Subject: changes at the British Library
Date: Sun, 28 Feb 2010 17:42:31 -0600
From: voigtsl
Reply-To: voigtsl
To: MEDMED-L@ASU.EDU
References: A
Colleagues,
I have recently returned from a research trip in
England and write to report on another development
for those who study manuscripts. This information
is second hand, but it comes from a staff member
in the (now olim) Dept. of Manuscripts, so I believe
it is reliable. I do not want to be alarmist, but this
information may be of use if you have plans to work
in the British Library.
On 18 February, the CEO [sic] of the British Library
announced a re-organization of the BL. Many existing
Departments are being abolished, including the
Department of Manuscripts, which will, as I understand
it, be subsumed in something called History and
Classics. The head of MSS no longer has a position,
although he may apply for a new post. It is by no means
clear what all the implications of this change will be,
especially for readers, but one consequence appears to
be that MSS may now be catalogued in a new Department
of Cataloguing, and not necessarily by experts in
paleography and codicology as is now the case in the
Department of Manuscripts.
Again, this re-organization may have little impact on
readers, but at least it may be useful for those who
work with medieval manuscripts to know of these changes
at the British Library.
all best, Linda
p.s., I also was told from what I believe is a good
authority that a chair in palaeography at Oxford has
recently been endowed, although it will not be filled for
a couple of years. Perhaps Larry Eldredge can tell
us more about that.
Linda Ehrsam Voigts
Curators' Professor of English Emerita
University of Missouri-Kansas City
Kansas City, MO 64110 USA
VOIGTSL@UMKC.EDU
Subject: changes at the British Library
Date: Sun, 28 Feb 2010 17:42:31 -0600
From: voigtsl
Reply-To: voigtsl
To: MEDMED-L@ASU.EDU
References: A
Colleagues,
I have recently returned from a research trip in
England and write to report on another development
for those who study manuscripts. This information
is second hand, but it comes from a staff member
in the (now olim) Dept. of Manuscripts, so I believe
it is reliable. I do not want to be alarmist, but this
information may be of use if you have plans to work
in the British Library.
On 18 February, the CEO [sic] of the British Library
announced a re-organization of the BL. Many existing
Departments are being abolished, including the
Department of Manuscripts, which will, as I understand
it, be subsumed in something called History and
Classics. The head of MSS no longer has a position,
although he may apply for a new post. It is by no means
clear what all the implications of this change will be,
especially for readers, but one consequence appears to
be that MSS may now be catalogued in a new Department
of Cataloguing, and not necessarily by experts in
paleography and codicology as is now the case in the
Department of Manuscripts.
Again, this re-organization may have little impact on
readers, but at least it may be useful for those who
work with medieval manuscripts to know of these changes
at the British Library.
all best, Linda
p.s., I also was told from what I believe is a good
authority that a chair in palaeography at Oxford has
recently been endowed, although it will not be filled for
a couple of years. Perhaps Larry Eldredge can tell
us more about that.
Linda Ehrsam Voigts
Curators' Professor of English Emerita
University of Missouri-Kansas City
Kansas City, MO 64110 USA
VOIGTSL@UMKC.EDU
KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 16:13 - Rubrik: English Corner
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Das ist Platz 14 der meistgelesenen Beiträge. Hier der Originalbeitrag:
http://archiv.twoday.net/stories/5556678/
Die weitere Berichterstattung in Archivalia findet man überwiegend in der Rubrik Kommunalarchive:
http://archiv.twoday.net/topics/Kommunalarchive/?start=650
Aus diesem Link ergibt sich, dass über 600 Beiträge (vorwiegend zu Köln) seither in der Rubrik Kommunalarchive erschienen.
Urheber: Raimond Spekking. Lizenz: GNU FDL
http://archiv.twoday.net/stories/5556678/
Die weitere Berichterstattung in Archivalia findet man überwiegend in der Rubrik Kommunalarchive:
http://archiv.twoday.net/topics/Kommunalarchive/?start=650
Aus diesem Link ergibt sich, dass über 600 Beiträge (vorwiegend zu Köln) seither in der Rubrik Kommunalarchive erschienen.

KlausGraf - am Mittwoch, 3. März 2010, 15:58 - Rubrik: Kommunalarchive
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Im Katalog zur Ausstellung "Köln in Berlin" (S. 59) ist ein schwarzes T-Shirt mit rotem Rückenaufdruck zu sehen, Text: "Wir lesen nicht. Wir werfen nichts weg", der Plassmann-Spruch im Erstversorgungszentrum. Gibt's das noch irgendwo? Oder war's eine Einzelanfertigung?
Dietmar Bartz - am Mittwoch, 3. März 2010, 13:25 - Rubrik: Unterhaltung
"Weit über 300 Archive an 134 Orten in Deutschland laden am kommenden Wochenende die Bürgerinnen und Bürger ein, beim 5. TAG DER ARCHIVE Unbekanntem auf die Spur zu kommen. Mit Magazinführungen, Ausstellungen, Vorträgen und Mitmachprogrammen für Kinder werden nicht alltägliche
Einblicke in die Arbeit der Archive geboten. Die Archive präsentieren dabei sowohl Schatzkammern der Geschichte als auch Dokumente zum Alltagsgeschehen. Diese Spuren erweisen sich als Bausteine der Identität einer Region und bieten den Besuchern daher spannende Aspekte für seine eigene Orientierung. Das Spektrum der sich beteiligenden Archive reicht vom Bundesarchiv über Landes- und Kommunalarchive, Kirchenarchive, Spezialarchive in Hochschulen und Wirtschaftsbetrieben, über Archive von Rundfunk- und Medienanstalten, von politischen Parteien und Parlamenten bis hin zu Adelsarchiven.
Besonders groß ist die Beteiligung dieses Jahr in Köln, wo sich 35 Archive präsentieren, um nach dem Einsturz des Kölner Stadtarchivs fast auf den Tag genau vor einem Jahr am 3. März 2009 zu dokumentieren, dass das Gedächtnis der Region vielfältig ist und auch im Stadtarchiv vieles gerettet werden kann. Diesen Zweck verfolgt auch die Ausstellung zum Archiveinsturz in Köln „Köln in Berlin“, die ab dem 6. März im Gropiusbau in Berlin
vom Historischen Archiv der Stadt Köln präsentiert wird.
Der VdA - Verband deutscher Archivarinnen und Archivare e.V. hat sich zum Ziel gesetzt, mit dem TAG DER ARCHIVE die öffentliche Aufmerksamkeit auf die Erinnerungsarbeit der Archive zu lenken und dazu beizutragen, dass diese wichtigen Gedächtnisorte von
Bürgerinnen und Bürgern, aber auch von den politisch Verantwortlichen stärker wahrgenommen werden. Wir freuen uns, am 6./7. März 2010 die erfolgreiche Arbeit der bisherigen TAGE DER ARCHIVE fortsetzen zu können.
Eine Aufstellung der am 5. TAG DER ARCHIVE bundesweit teilnehmenden Archive mit ihren Angeboten finden Sie unter http://www.tagderarchive.de .
Informationen zur Ausstellung „Köln in Berlin“ im Martin-Gropius-Bau in Berlin stehen unter http://www.berlinerfestspiele.de oder http:// www.gropiusbau.de oder http://www.vda.archiv.net ."
Pressemitteilung des VdA v. 02.03.2010
Einblicke in die Arbeit der Archive geboten. Die Archive präsentieren dabei sowohl Schatzkammern der Geschichte als auch Dokumente zum Alltagsgeschehen. Diese Spuren erweisen sich als Bausteine der Identität einer Region und bieten den Besuchern daher spannende Aspekte für seine eigene Orientierung. Das Spektrum der sich beteiligenden Archive reicht vom Bundesarchiv über Landes- und Kommunalarchive, Kirchenarchive, Spezialarchive in Hochschulen und Wirtschaftsbetrieben, über Archive von Rundfunk- und Medienanstalten, von politischen Parteien und Parlamenten bis hin zu Adelsarchiven.
Besonders groß ist die Beteiligung dieses Jahr in Köln, wo sich 35 Archive präsentieren, um nach dem Einsturz des Kölner Stadtarchivs fast auf den Tag genau vor einem Jahr am 3. März 2009 zu dokumentieren, dass das Gedächtnis der Region vielfältig ist und auch im Stadtarchiv vieles gerettet werden kann. Diesen Zweck verfolgt auch die Ausstellung zum Archiveinsturz in Köln „Köln in Berlin“, die ab dem 6. März im Gropiusbau in Berlin
vom Historischen Archiv der Stadt Köln präsentiert wird.
Der VdA - Verband deutscher Archivarinnen und Archivare e.V. hat sich zum Ziel gesetzt, mit dem TAG DER ARCHIVE die öffentliche Aufmerksamkeit auf die Erinnerungsarbeit der Archive zu lenken und dazu beizutragen, dass diese wichtigen Gedächtnisorte von
Bürgerinnen und Bürgern, aber auch von den politisch Verantwortlichen stärker wahrgenommen werden. Wir freuen uns, am 6./7. März 2010 die erfolgreiche Arbeit der bisherigen TAGE DER ARCHIVE fortsetzen zu können.
Eine Aufstellung der am 5. TAG DER ARCHIVE bundesweit teilnehmenden Archive mit ihren Angeboten finden Sie unter http://www.tagderarchive.de .
Informationen zur Ausstellung „Köln in Berlin“ im Martin-Gropius-Bau in Berlin stehen unter http://www.berlinerfestspiele.de oder http:// www.gropiusbau.de oder http://www.vda.archiv.net ."
Pressemitteilung des VdA v. 02.03.2010
Wolf Thomas - am Mittwoch, 3. März 2010, 11:40 - Rubrik: Oeffentlichkeitsarbeit
"14.00 Uhr - Dokumentation:
"Ein Jahr nach dem Einsturz"
Wie Köln sein Gedächtnis wiederfindet
Film von Werner Kubny, Per Schnell und Kamilla Pfeffer
ca. 14.45 Uhr - Köln:
"Ein Jahr nach dem Archiveinsturz" - Gedenkveranstaltung der Stadt Köln u.a. mit einer Rede von Jürgen Roters (Oberbürgermeister Köln, SPD)
anschl. - Dokumentation:
Die tragische Geschichte von Pleiten, Pech und Pannen
Reportage von Gabi Haneld
Moderation THEMA: Stephan Kulle"
Quelle: Link
"Ein Jahr nach dem Einsturz"
Wie Köln sein Gedächtnis wiederfindet
Film von Werner Kubny, Per Schnell und Kamilla Pfeffer
ca. 14.45 Uhr - Köln:
"Ein Jahr nach dem Archiveinsturz" - Gedenkveranstaltung der Stadt Köln u.a. mit einer Rede von Jürgen Roters (Oberbürgermeister Köln, SPD)
anschl. - Dokumentation:
Die tragische Geschichte von Pleiten, Pech und Pannen
Reportage von Gabi Haneld
Moderation THEMA: Stephan Kulle"
Quelle: Link
Wolf Thomas - am Mittwoch, 3. März 2010, 09:32 - Rubrik: Kommunalarchive
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Der 3. März 2009 wird der Geschichtswissenschaft im Gedächtnis bleiben: An diesem Tag stürzte mit dem Historischen Archiv der Stadt Köln das größte und bedeutendste Kommunalarchiv nördlich der Alpen ein. Stärke und Bedeutung des wiederaufgebauten Archivs werden, wie dieses Buch zeigt, auch künftig in seiner Rolle als "Gedächtnisort" der Stadt liegen. Und als moderner Wissensspeicher der Stadt wird es der zentrale Ort des Geschichtsbewusstseins bleiben. Ein Jahr nach dem Unglück werden in diesem Band die Geschichte des Archivs sowie seine vielfältigen, außerordentlich wichtigen Bestände gewürdigt. Die sofort eingeleiteten Bergungsmaßnahmen sowie die Restaurierung und Digitalisierung der Dokumente mit modernsten Methoden verweisen ebenso auf die Zukunft des Historischen Archivs, wie die Tatsache, dass namhafte Historiker zeigen, welche Folgen der Archiveinsturz für die Erforschung der unterschiedlichen Epochen hat und welche Forschungsperspektiven sich ergeben.
Mit Beiträgen von: A. Berger, M. Blattmann, J. Dülffer, W. Eck, M. Groten, R. Jessen, J. Kistenich, R. Kretzschmar, B. Schmidt-Czaia, G. Schwerhoff und U. S. Soénius.
197 S., Mit 20 s/w-Abb., 21 x 13.5 cm, Gb.
Preis: € 19.90 [D] | € 20.50 [A]
ISBN: 978-3-412-20490-7
Link zum Inhaltsverzeichnis (PDF)
Quelle: Verlagsangaben
Aus der Buchvorstellung der Kölnischgen Rundschau: " .... „Ein Gutes hat das Unglück auch: Archive werden von den Menschen heute viel stärker wahrgenommen“, so die Archivleiterin.
Im vergangenen Jahr gab es eine Ringvorlesung, deren Beiträge in dem Buch wiedergegeben werden. Jost Dülffer beschäftigt sich in „Folgen und Zukunftserwartungen“ auch mit der Quellensicherung, Werner Eck beleuchtet die Zukunft des Projekts „Die Geschichte der Stadt Köln“ in 13 Bänden, Manfred Groten, der am Tag des Unglücks im Archiv arbeitete, berichtet über „Forschung zur rheinischen Geschichte“, Marita Blattmann schreibt über „Forschung zur mittelalterlichen Geschichte“ und macht sich Gedanken etwa über Grenzen von Mikrofilmen im Archiv, Gerd Schwerhoff beschreibt „Frühzeitforschung“, und Ralph Jessen behandelt das Thema Köln- Stadt-, Zeitgeschichte und das Verhältnis der Kölner dazu; die Beiträge enthalten auch persönliche Eindrücke zum Einsturz.
Im ersten Teil des Buches berichtet Schmidt-Czaia auch über die Konzeption eines Bürgerarchivs, mit dem sie seit ihrem Amtsantritt bereits begonnen hatte, ihr Stellvertreter Ulrich Fischer schreibt über den kontrollierten Wiederaufbau des Archivs, Johannes Kistenich über Konsequenzen für die Bestandserhaltung, Andreas Berger über die Digitalisierung, Ulrich Soénius über Köln als Stadt der Archive, Robert Kretzschmar schätzt die Folgen für alle Archive ab. ...."
Link zum Artikel
Wolf Thomas - am Mittwoch, 3. März 2010, 09:19 - Rubrik: Kommunalarchive
"Am 3. März 2009 stürzte auf der Kölner Severinstraße das Historische Stadtarchiv ein und riss zwei Wohnhäuser mit in die Tiefe - eine Folge des Kölner U-Bahn-Baus.
Zwei Menschen starben in den Trümmern und die Stadt verlor einen kulturellen Schatz, dessen Bedeutung weit über die Grenzen der Region hinaus ging. Die Severinstraße, deren einst gerühmtes Flair durch den jahrelangen U-Bahn-Bau längst abhanden gekommen war, geriet in die Schlagzeilen.
Vor zwei JahrTausenden von den Römern gebaut, später von Kirchen und Klöstern gesäumt, von Stollwerck und anderen Fabriken umgeben, war die Severinstraße Heimat für Kaufleute, Kleriker und Arbeiter. Die Schwestern des Cellitinnen-Ordens litten unter den Schikanen der Armenverwaltung, ein Fabrikant kämpfte schon 1893 gegen den Klüngel im Kölner Rat, Heinrich Böll beklagte die Zerstörung der Straße durch Bausünden in der Nachkriegszeit. Der Straßenmusiker Klaus der Geiger erinnert sich an die Besetzung der ehemaligen Schokoladenfabrik, BAP-Frontmann Wolfgang Niedecken an seine Kindheit im Viertel und an das legendäre "Arsch huh" - Konzert gegen Rassismus 1992. Historische Dokumente und Berichte von Zeitgenossen verdichten sich zu einer "Geschichte von unten", nicht nur im soziologischen, sondern auch im räumlichen Sinne: liegen doch unter dem Pflaster römische Gräber und mittelalterliche Mauerreste. Der verhängnisvolle U-Bahn-Tunnel wurde durch geologisch schwierigen und archäologisch bedeutsamen Boden gegraben. Doch obwohl kaum jemand im Viertel die U-Bahn wollte, gab es wenig Protest und selbst nach der Katastrophe verhallte die öffentliche Empörung relativ schnell. "
Link zur Freistil-Sendung von Ulrike Klausmann, 28.02.2010
Zwei Menschen starben in den Trümmern und die Stadt verlor einen kulturellen Schatz, dessen Bedeutung weit über die Grenzen der Region hinaus ging. Die Severinstraße, deren einst gerühmtes Flair durch den jahrelangen U-Bahn-Bau längst abhanden gekommen war, geriet in die Schlagzeilen.
Vor zwei JahrTausenden von den Römern gebaut, später von Kirchen und Klöstern gesäumt, von Stollwerck und anderen Fabriken umgeben, war die Severinstraße Heimat für Kaufleute, Kleriker und Arbeiter. Die Schwestern des Cellitinnen-Ordens litten unter den Schikanen der Armenverwaltung, ein Fabrikant kämpfte schon 1893 gegen den Klüngel im Kölner Rat, Heinrich Böll beklagte die Zerstörung der Straße durch Bausünden in der Nachkriegszeit. Der Straßenmusiker Klaus der Geiger erinnert sich an die Besetzung der ehemaligen Schokoladenfabrik, BAP-Frontmann Wolfgang Niedecken an seine Kindheit im Viertel und an das legendäre "Arsch huh" - Konzert gegen Rassismus 1992. Historische Dokumente und Berichte von Zeitgenossen verdichten sich zu einer "Geschichte von unten", nicht nur im soziologischen, sondern auch im räumlichen Sinne: liegen doch unter dem Pflaster römische Gräber und mittelalterliche Mauerreste. Der verhängnisvolle U-Bahn-Tunnel wurde durch geologisch schwierigen und archäologisch bedeutsamen Boden gegraben. Doch obwohl kaum jemand im Viertel die U-Bahn wollte, gab es wenig Protest und selbst nach der Katastrophe verhallte die öffentliche Empörung relativ schnell. "
Link zur Freistil-Sendung von Ulrike Klausmann, 28.02.2010
Wolf Thomas - am Mittwoch, 3. März 2010, 09:14 - Rubrik: Kommunalarchive
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"Am 3. März 2009 fiel das Kölner Stadtarchiv wie ein Kartenhaus zusammen. Menschen wurden vermisst, wertvolle Kulturbestände verschüttet. Archivmitarbeiter erhoben schwere Vorwürfe gegen die Stadt, Verantwortliche wehrten ab.
Und heute? Wie steht es um die Klärung der Ursachen? Was konnte gerettet werden? Was ging für immer verloren? Ein Bestandsaufnahme des stark beschädigten kulturellen Gedächtnisses nicht nur der Stadt Köln."
Link zur Länderreport-Sendung von Friederike Schulz und Marion Linnenbrink, 02.03.2010
Link zum Sendemanuskript (PDF)
Und heute? Wie steht es um die Klärung der Ursachen? Was konnte gerettet werden? Was ging für immer verloren? Ein Bestandsaufnahme des stark beschädigten kulturellen Gedächtnisses nicht nur der Stadt Köln."
Link zur Länderreport-Sendung von Friederike Schulz und Marion Linnenbrink, 02.03.2010
Link zum Sendemanuskript (PDF)
Wolf Thomas - am Mittwoch, 3. März 2010, 08:46 - Rubrik: Kommunalarchive
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